Procès Diego Maradona : “Il était comme séquestré” et “sentait mauvais”… Les violentes accusations de l’ex-femme du footballeur extraordinaire

l’fondamental
Près de 4 ans et chopine ensuite le meurtre de l’imagier champion de l’Argentine, sept praticiens sont jugés depuis un paye dans à elles optionnelle tâche.

Le condamnation sur la épuisé de Diego Maradona, disparu le 25 brumaire 2020, dévoile des comptes accablants sur les derniers paye de la indication argentine. Les témoignages d’experts et de proches pointent du brin un environnement médicinal et spécial évanoui qui aurait contribué à sa fin navrant.

L’ex-compagne de Maradona, Veronica Ojeda, a témoigné mardi 8 avril précocement le aréopage. Selon miss, la vedette du football subsistait dans lequel un atmosphère essoufflant, où il se sentait “séquestré” par certaines foule de son environnement.

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Elle a annoncé que Maradona, terrifié, lui demandait ordinairement de l’piloter, un épreuve de la contrainte mental qu’il aurait pu languir. Les accusations vont au-delà des maltraitances émotionnelles, plus des comptes terribles sur les moment de vie de la vedette, particulièrement une assainissement exécrable et une naturel énergiquement dégradée.

Irréflexion médicale ?

Les médecins légistes ont prouvé que Maradona souffrait d’une “insuffisance cardiaque” et d’une “cirrhose hépatique” saillie. Son cœur, qui pesait “presque le double” de la quotidienne, existait un épreuve assuré de son récapitulation de naturel coulé.

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Selon les experts, les symptômes d’glas trouvaient évidents des heures vis-à-vis son meurtre, pourtant l’état-major infirmière n’a pas réagi à vieillesse. Le docteur jurisconsulte Mauricio Casinelli a illustré qu’il suffisait de percevoir les signaux évidents, comment la colorant des badigoinces ou la assistance de digestif dans lequel ses poumons, dans discerner que Maradona existait en prolixe morose.

Les praticiens jugés dans “homicide avec dol éventuel” sont accusés d’garder caché ces appels. Certains abattis de l’état-major médicale et de l’environnement ont été mis en motif dans n’garder pas supposé les mesures principaux dans entretenir la vie de l’estampe.

Veronica Ojeda, dans lequel son allégation indigne, a évident que l’lieu où Maradona subsistait, dans lequel la maison propre de Tigre, “sentait mauvais, “l’urée et les fèces”.

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Le condamnation, qui se déroule depuis divergentes semaines, doit acquiescer de indiquer si sept praticiens (médecins, analyste, psychologue, gardes-malade) ont joué un occupation dans lequel le meurtre de la vedette, dans des raisons financières ou personnelles. Ce qui devait créature une soulagement ensuite une neurochirurgie est devenu un souffrance où Maradona aurait été laissé à sézigue.

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