“Que des bonnes conditions”, le Mondial du Vent a détenir porté son nom vers sa 27e littérature à Leucate-La Franqui

L’événement de catalogue des amusements nautiques de traîneau a été une démonstrative issue et s’est admis en distinction ce lundi.

Pour boursicoteur un bon Mondial du Vent, il faut des athlètes locaux et cosmopolites, des dettes de Coupe du monde spectaculaires, des disciplines innovantes et… du flatulence. La 27e littérature sur le crédit d’eau de Leucate-La Franqui a coché toutes les cases.

En primitif coin, et c’est le énergie de la campagne, les moment météorologiques ont été optimales sautoir les six jours de l’événement admis ce lundi sur la arène audoise.

Le flatulence pêcheur et la tramontane beaucoup attendus par les acteurs du Mondial ont été présents : “On a eu beaucoup de chance, estime Kylie Belloeuvre, la rideuse française spécialiste de wingfoil et originaire des Bouches-du-Rhône. En quatre participations, c’est la première fois que je vois du vent tous les jours. Il n’y a eu que des bonnes conditions.”

Même son de clochette vers son compagnon Julien Rattotti, le Hyérois vice-champion du monde de wingfoil en virage : “Vent marin et tramontane, les conditions ont été variables, ce qui a permis à tout le monde de s’exprimer. J’ai trouvé ça vraiment intéressant.”

30 ans d’régularité en 2026

Le Mondial du Vent translation 2025 s’est achevé en feu d’finasserie sur l’eau, lundi. Les foule présents en public en ont reçu excessif les mirettes. Ils ont assisté à une démonstration étonnant de windsurf derrière, pénétré contradictoires, le Catalan Sam Esteve à l’œuvre.

Surtout, ils ont pu remarquer le solution de l’concurrence de virage de la Coupe du monde de wingfoil. Chez les femmes, la Française Kylie Belloeuvre a pu s’augmenter pénétré un couple de rideuses espagnoles, la recordwoman du monde Nia Suardiaz et Mar de Arce. “J’aurais voulu gagner mais deuxième ce n’est pas mal. Quand Suardiaz m’a doublé, je n’ai pas voulu prendre tous les risques puisque je pouvais tout perdre. Maintenant, je sais que je peux la battre.”

Du côté des nation, l’Italien Francesco Cappuzzo, déjà lauréat en freestyle, s’est imposé. Derrière lui, la échauffourée a été intérêt vu que Julien Rattotti a passé par absorber le originel sur l’Audois Bastien Escofet qui visait l’or. “C’était une belle bagarre jusqu’à la fin, soufflait le Varois. C’est inattendu puisque j’ai changé de matériel cet hiver et que je suis entré de justesse en finale.”

Avec le cinémascope proposé par l’apparition de discipline puis l’e-foil ou aussi le pump foil qui a régi à Leucate sa commencement période de Coupe du monde, le Mondial du Vent a donné jonction aux riders et aux passionnés vers l’an proche. En 2026, l’événement devrait festoyer en ensemble sa 28e littérature et ses 30 ans d’régularité.

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