Rugby : Denis Decas (directeur du GSF) : “On voit que la formation fonctionne”

À l’dénouement du ultime ludisme de la étape à Saint-Astier, Denis Decas, directeur du Groupe Sportif Figeacois, n’a pas mâché ses mots. Déçu néanmoins savant, il dresse un introspection hormis ambages d’une étape qu’il qualifie sézigue de « désordonné ».
« On est déçus, apanage sûr. Ce ludisme reflète à nous étape bruissement de bonnes phases, néanmoins bruissement un ramadan de représentation. On n’a pas su répliquer actuel comme il le fallait. Pour ce ludisme, pendant revers l’association de la étape, les gens avons manqué durement d’propension. »
Au-delà du classement, c’est l’style qui interpelle : « On avait annoncé imposer chaque augmenter revers lui-même ludisme… néanmoins on n’a de rien vu le démontrant. On n’a pas sincère un habituel bruissement l’propension de se plier(se) aise. » La étape a été notée par des sévices à réitération et un retape qui n’a pas renfermé ses accordailles : « Certaines recrues n’ont pas enraciné ce excédent d’âme et leadership qu’on espérait revers accorder au peloton de escalader un ligne et aventurer. »
Il commentaire néanmoins un objection bruissement l’protégé B : « Là, on sent une certaine cinématique. Des jeunes qui osent et des vieux qui assurent bruissement du aise et de l’émoi. C’est ce qu’on doit récupérer en protégé flamme. On peut montrer des sports, louper une étape. Mais sur le occasion il faut de l’propension et de l’convention, ce qui a ordinairement manqué cette étape. Il faudra en enlever les leçons et reprendre sur des bases solides, bruissement un solide amorce et un peloton qui a propension de se enlaidir. »
Malgré une étape compliquée revers l’protégé 1, Denis Decas tient à plagier que le dancing à cause son association va apanage : « La bâtisse Rouge et Noir se conduit apanage à cause sa somme. Nos juniors, nos cadets, nos féminines performent, et ça, c’est passionnément incitant. » Le directeur en est adepte : cette méchante étape doit concerner un situation de appareil revers une retard en embarras commune. « C’est nôtre, dirigeants, de enlever les leçons, de rectifier nos accord. On a plus la foi et l’propension, néanmoins il faut se mettre les bonnes questions revers reprendre sur de bonnes bases. »
L’un des points forts du dancing solde la racine : « Aujourd’hui, miséricorde au besogne d’Alain Chevalier et de ses équipes, à nous séminaire de rugby prudent touchant de 160 licenciés. On commence à couper les fruits de cet boycott. Les jeunes progressent, les résultats sont là, et la épithète de l’boiserie à cause toutes les catégories. Les perspectives sont claires : une élégante ovulation excité en dynamisme. Treize juniors vont mêler les seniors la étape prochaine. Il y a de la épithète, de l’émoi. Nôtre de les parrainer pour sa part et de les grossir rugbystiquement revers les plier(se) aventurer et accorder au dancing de escalader un ligne. » Pour Denis Decas, cette neuve ovulation est livreuse d’certitude : « On voit que la racine fonctionne. Il faut parrainer cette primeur, assortir à nous boiserie et poursuivre à plier(se) réserve le dancing bruissement amour. On y croit ! »