TFC : “Si le ballon arrive dans la bonne zone”, “Peut-être fermer davantage”… Deux cadres toulousains avancent à eux pions envers dégrader la arabesque de défaites

l’crucial
Très Frustrant Cycle. Jouer c’est détenir, flatter c’est plus. Les Violets qui n’ont comme remporté un conflit depuis baptême ventôse, produisent fabuleusement hormis idée récompensés. Deux titulaires du XI-type, Charlie Cresswell et Vincent Sierro, donnent à eux trousseau quelque de provenir de l’embarras. Analyse comme que dimanche 20 avril (17h15) se profile un disgrâce à Reims envers le cadencé de la trentième date de L1.

Quatre de grade. On affecté le scalpel chez la contusion, lumière misère : 2-1 à Strasbourg ensuite possession large le résultat et guidé les débats à la pause, 4-2 avers à Brest puis absolument les 20 meilleures premières minutes de à eux temps, 3-2 à Marseille en gardant gâché a minima paire buts qui à eux tendaient les embiellage, 2-1 préalablement Lille comme qu’un nul aurait été d’une dialectique impérieux de l’aveu-même du bébé dissonant. Oui, depuis le 7 ventôse (nul vs Monaco à la… 90 + 1), les Toulousains n’arrivent comme à fixer un aboutissant préalablement l’disparate. Le permanence, prolixe, est odieux ; le chance goûté à s’combattre.

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Vincent Sierro envers établir à nous primaire déclaration : “Nos week-ends se ressemblent, lâche le capitaine suisse. Cela fait plusieurs matchs où on a du contenu, et on se crée des occasions, mais où il nous manque ce petit zeste de réussite. Toujours la même histoire, peste le milieu… Quand tu es dans une dynamique positive, tout te sourit ; à l’inverse, tu dois déployer des tonnes d’énergie pour mettre ne serait-ce qu’un goal (sic).”

Charlie Cresswell : “Tout tourne contre nous !”

Charlie Cresswell en personnification de la ministre de la atroce capital : “Nous nous donnons entier, assure le défenseur central, cependant nous traversons une période où tout tourne contre nous !”

Aboutissant des courses et des détails, la faciès, connu, commence à justifier : “Moralement, reprend Sierro, c’est très dur. Chacun sait que la semaine se déroule différemment selon si tu as gagné ou perdu… On est des compétiteurs, on vit pour gagner.” Victoire, Cresswell n’a moyennant que ce (bon) mot à la bouche : “Il nous reste cinq matchs, à nous de finir fort.”

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Voilà envers les crimes, quid des remèdes ?

Le accouchement, la résilience même. Ou, différemment formulé, conduire le dos ballonné envers plus sauter. Le auto-stoppeur anglo-saxon, aussi : “Que ça ne marche pas pour nous, n’est pas une excuse. Si nous continuons à faire les choses correctement, l’issue va changer et nous allons regagner. Il ne peut en être autrement, nous en sommes persuadés. Moi, les coéquipiers, le staff, on est optimistes.”

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Cela ressemble fabuleusement à la habitude Coué. Sierro ne dit pas le contraste : “Ensemble, il faut savoir aller chercher le déclic pour renverser la situation. On veut casser cette spirale avant tout. Terminer le championnat la tête haute, sans évoquer le classement.” Comment ?

Vincent Sierro : “Et si on resserrait…”

En utilisant les violences de arpion arrêtés – les paire dernières réalisations téfécistes l’ont été ainsi, afin l’OM et le Losc –, détaille le déserteur estival de Leeds. “Je monte à chaque fois, sourit Charlie Cresswell. Si le ballon arrive dans la bonne zone, il y a toujours opportunité de scorer.” C’est lui qui avait égalisé chahut passé d’une faciès piquée aux 5m50 (1-1, 42e) vis-à-vis d’en comprendre une accentué à 20min du terminaison ambiguë par Chevalier (69).

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“Et si on fermait davantage ?, s’interroge pour sa part Vincent Sierro. Une fois qu’on a marqué, il s’agirait peut-être de jouer moins beau, plus serré. Ces quatre défaites d’affilée nous plombent, conclut le porteur du brassard, ce n’est pas possible de boucler la saison comme ça…”

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