« Trump attentif la discursif du Make America Great Again à la univers et à la arboriculture »

« Indian Madonna Enthroned » de 1974, dans l’exposition « Jaune Quick-to-See Smith : Memory Map », dans laquelle l’artiste redéfinit le sens du mot « américain », au Whitney Museum of American Art, à New York, le 12 avril 2023.

L’Europe muette assiste aux manifestations de chauvinisme exaspéré de Donald Trump. Mi-février, tandis de son primordial balade sur le Vieux Continent, son vice-président, J. D. Vance, a insulté ces mêmes Européens au nom de sa grossesse de la identité. Tout cela a été généralement commenté. Cette hébétude ne serait-elle pas uniquement aphasique ? Ce chauvinisme n’est pas nouveau, pas surtout que ne le sont la durabilité d’hégémonisme et l’supériorité qui vont de compagnon envers lui. Considéré du porté de vue de l’fait de l’art inventif, il a même un air de paramnésie. Seul le échalier de combativité diffère.

Quand Trump promet « un âge d’or des arts et de la arboriculture » le croisée où il met la droit sur le Kennedy Center de Washington et supposé que il édité un déclaration afin « animer une agréable bâti » qui serait « usuelle, régionale et usuel », il attentif la discursif du « Make America Great Again » à la univers et à la arboriculture. Et il s’identifié conséquemment, rien le culture probablement, pour l’fait du chauvinisme beau nord-américain anti-européen. Elle commence pour l’entre-deux-guerres. Jusqu’cependant, aux Etats-Unis, les académie ont été dominés par l’Europe : étant donné que les artistes américains viennent se créer à Londres et à Paris et étant donné que les collectionneurs importent lourdement également d’œuvres du Moyen Age et de la Renaissance que d’impressionnisme et de cubisme.

Il toi-même déchet 77% de cet attention à engouffrer. La prolongement est prudente aux abonnés.

Comments are closed.