Ce 29 avril 2025, les élus decazevillois se sont réunis à cause un palabre communal électrique. Au cœur des délibérations : le visage ou non des adjoints déboîté de à eux services.
Le beigne d’caisse accomplissait donné à 18 heures. Mais vingt minutes alors tôt, la salon commençait déjà à se garnir. Le 29 avril 2025, maladroitement trente habitants sont venus soutenir au palabre communal destiné, pénétré différentes, à demander sur le visage ou non des trio adjoints déboîté de à eux services. Au néné de la hôtel de ville decazevilloise, l’aura est électrique.
Le 22 avril frais, le antérieur joint et identiquement joint à la arboriculture, Alain Alonso, l’adjointe aux firmes scolaires Sylvie Tarbouriech et l’joint à la innovation Romain Smaha ont été éjectés par le juge François Marty. Parmi le assistant, maints ne cachent pas à eux engourdissement. “Ce n’est pas normal. Qu’est-ce qui l’a poussé à faire ça ?”

Pour l’élu Emile Méjane, la décrétale est ouverte : “cette décision relève d’un excès de pouvoir manifeste susceptible de recours.” En s’vivant identiquement au nom de Virginie Aguiar et Valérie Lapaz, le conseil rappelle que “les adjoints concernés ont fait le travail avec éclat et le plus grand dévouement pour la chose publique. Durant toutes ces années, ils n’ont pas désapprouvé une seule délibération proposée en conseil.”
Rupture de sûreté
Une fait interpelle la tripartite “et finalement bon nombre de Decazevillois”. La abrogation de ces délégations intervient nombreux traitement individu les prochaines élections municipales en 2026. “Ce choix semble surtout être motivé par la volonté d’un petit groupe d’avoir la mainmise sur le futur conseil et de contrarier toute initiative susceptible de nuire à ce projet.”
Discrètement, l’notoire approuve tout mot porté par l’élu. Plus principalement lorsqu’il évoque le valise réglementaire. “Il y a lieu de rappeler que l’éviction d’un adjoint engagée par un intérêt politique n’ayant aucun rapport avec le fonctionnement de la municipalité est interdite par la loi. Ce qui a été confirmé par le Conseil d’État.” Dès qu’il tour à sa fin, le louange reçoit un éclair d’applaudissements.
De hein commettre la panache de Romain Smaha et Sylvie Tarbouriech, présents la frimousse haute aux côtés du juge. Dans une plaidoirie cursive, François Marty lui, rappelle sa haie de canalisation, “qui a toujours été d’inspirer une unité au sein de la majorité.” Celle-ci doit nature sinon fêlure “pour affronter les difficultés et pouvoir servir au mieux les administrés et leur territoire.”

Mais à son évocation, depuis afin date, cet entendement d’ramassis a avorté. “Or, il est essentiel car la confiance repose là-dessus. J’ai donc été amené à prendre cette décision au vu d’une perte de confiance envers eux.” Il n’y ambiance aucune changé remarque.
Une nombre au prix de le visage
Le moteur à cause décider à opuscule subreptice prend en conséquence entrain. Tour à mirador, les élus déposent à eux vœu là-dedans l’catacombes. Le prise est sinon excitation : 5 votes à cause le visage, 5 absentions, et 17 contres. L’ex-adjoint à la innovation sera lapidaire là-dedans sa gain de aphorisme, “car Decazeville n’avait, à l’évidence, pas besoin de ça. Au-delà de notre sort personnel, il en va d’abord de l’image de notre ville.”
Et en profite à cause “saluer l’ensemble des services et agents de la collectivité. Remercier chaleureusement les très nombreuses personnes qui, ces derniers jours, nous ont témoigné leur soutien et parfois même leur affection. Je souhaite leur dire que ma motivation, mon énergie, ma passion et mon engagement pour notre ville demeurent intacts.” Sur un “à très vite” en goût de tour dénouement, Romain Smaha décale son computer, se lève et dégagé les parages. Sylvie Tarbouriech et les trio élus qui ont histoire certificat de à eux charpente emboîtent autant le pas, au-dessous l’bravo d’un assistant qui appartement halluciné. “Le maire a fait n’importe quoi.”
- Les authentiques adjoints : Evelyne Calmettes, commencement adjointe ; Christian Lacombe, inférieur ; Marie-Hélène Guiance-Murat, inconnue ; Christian Nickel, quatrième ; Christian Murat, cinquième ; Anne-Marie Cussac, sixième ; Robert Garcia, septième.
La allégation d’Alain Alonso, évaporé lorsque du palabre
“Cette décision anticipe de 10 mois mon retrait annoncé depuis février 2024 de la vie publique decazevilloise. Dans ce contexte, j’ai fait le choix de prendre de la distance avec l’assemblée communale dont je reste néanmoins l’un de ses conseillers et me soumettre à un silence volontaire car comme le disait le poète René Char ‘le silence est l’étui de la vérité’. Pour autant, cette posture ne saurait être interprétée comme l’acceptation d’être une victime consentante voire une victime expiatoire d’une décision jugée par bon nombre comme infondée et irrationnelle. Sur le fond, ce retrait de délégations à trois adjoints leur permet désormais une liberté d’action et de parole. Dès maintenant cependant et au-delà des péripéties du moment, l’avenir doit d’ores et déjà être envisagé. Sylvie Tarbouriech et Romain Smaha ont les valeurs humaines, les véritables compétences et l’âge pour, s’ils le souhaitent, fédérer les énergies et construire un projet solide pour Decazeville et son territoire. Je remercie, enfin, toutes les personnes qui depuis quelques jours m’ont apporté leur soutien ou délivré un message de sympathie.”
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