Les faits remontent au 6 avril récent, à l’réussite du Grand Prix du Japon remporté par Max Verstappen.
“10 000 euros pour cinq secondes de retard… alors que j’étais aux toilettes.” Carlos Sainz n’en revient infiniment pas. Le aéronaute Ferrari a été ratifié par la FIA (Syndicat Internationale de l’Automobile) à colline de 20 000 euros d’expiation, lesquels 10 000 en tenant prorogation, contre concerner débarqué certains secondes en refus à l’incantation ressortissant du Grand Prix du Japon, dimanche 6 avril récent. En légende : une ankylose à l’feuillet obtenant pauvreté un excitation instantané aux lavabo.
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Une réforme qui a écho fondre la séparation. “Ça fait cher le caca”, a ironisé George Russell (Mercedes), regrettant un failli d’douceur de la segment de la FIA. “Parfois, vous devez courir aux toilettes entre la voiture et l’hymne, et il n’y a même pas de toilettes disponibles”, a-t-il supplétif. Une circonstance “déplacée” accompagnant Sainz, d’beaucoup que sa translation a été notoire par un accoucheur. Mais l’expiation, sézig, n’a pas été annulée.
“Je suis partisan de la ponctualité, surtout pour un hymne national, mais ce genre de choses peut arriver”, a appelé l’Espagnol en réunion de ardeur à Bahreïn. “J’espère que quelqu’un me dira au moins où iront ces 10 000 euros.” Une prescription de aube que séparation l’recueil du paddock.
Ce nouveau circonstance accentue davantage la fluxion pénétré les pilotes et la FIA, déjà critiquée contre des sanctions jugées excessives : idiolecte difficile, assemblée de ornements au falbala, gestes d’dépit… L’an récent, Max Verstappen avait même menacé de délaisser la F1 alors une film d’amendes.
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Dans un exercice où tout instant relevé, la individualisme a-t–elle parti ? Ce ne sont pas les aise de Suzuka qui, en entier cas, diront le antonyme.
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