La Direction de l’composition a avéré une aberration majeure alors de Reims-Strasbourg. Un penalty bouchant verso Reims en fin de plaisir n’a pas été convenu. Une autorisation qui lance les cruciaux sur l’fashion et l’valeur de la VAR en Ligue 1.
La conflit n’voyait pas qu’un beigne de ménage. La Direction style de l’composition (DTA) a avéré une aberration alors du plaisir Reims-Strasbourg (0-1, 28e date de Ligue 1), disputé dimanche 6 avril.
En toute fin de duel, comme que le Stade de Reims poussait verso balancer, Junya Ito a été bousculé entre la toundra par Valentin Barco. Aucune méprise n’a été signalée, ni par l’juge Clément Turpin, ni par son adjoint vidéofréquence Mathieu Vernice. Artificiellement ?
Dans son débrief accrédité, publié mardi 8 avril et relayé surtout par L’Entente, la Direction Technique de l’Arbitrage est explicite : “Cette intervention correspond à une faute commise par imprudence”, peut-on deviner. L’conseil explique que le avoué strasbourgeois s’est “désintéressé totalement du ballon”, se concentrant mais sur son combattant, et l’a “chargé avec la hanche et le bras droit”. Une méprise aveuglant qui aurait dû décacheter sur un penalty verso Reims à la 96e rapide. L’montré du VAR a été jugée “sommaire et insuffisante”, l’bienfait vidéofréquence n’contenant pas accord à Turpin d’amener enquêter les images en arête de place.
Ce beigne de appeau oublié a attaqué une bataille dans les un couple de équipes, résultat aux expulsions de Cédric Kipré (Reims) et Diego Moreira (Strasbourg). L’juge du plaisir a de ce fait accepté les mauvaises décisions… rien même disposer eu l’situation de reconsidérer les images trousseau.
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Ce n’est pas la singulière autorisation épinglée par la DTA. Le pédoncule cime du Lensois Hamzat Ojediran sur Ibrahima Wadji (ASSE), alors de Lens-Saint-Étienne en Coupe de France, aurait impartialement dû créature ratifié : “Un geste non maîtrisé et dangereux” verso l’honnêteté outillage, sincère le parenté.
Une fin de plaisir qui avait attaqué la pesante haine du gouvernant de Reims, qui avait surtout ironisé sur le histoire que “le mec de la VAR devait être comme dans la publicité à manger un hamburger”, la Ligue 1 rencontrant sponsorisé par Uber Eats.
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