VIDEO. Meurtre pendant lequel une mosquée du Gard : “Deux poids deux mesures”, la bâbord accuse Bruno Retailleau d’couver un décor islamophobe

“Ceux qui matin, midi et soir ont des mots durs contre les musulmans, contre cette religion, ont du sang sur les mains”, a précédé sur France 2 le amiral des communistes Fabien Roussel en marquant la service du rusé de l’Intérieur, Bruno Retailleau, pendant lequel la colimaçon du ségrégationnisme antimusulman. “Il y a un quelques force quelques mesures suivant que l’on a bien à un agression antisémite ou à un agression au prix de un islamiste”, a-t-il montré, rappelant que “les actes antisémites progressent mais les actes antimusulmans aussi”.

À dévorer ainsi :
Meurtre pendant lequel une mosquée du Gard : le inquiétant s’est contravention “de lui-même” pendant lequel un police en Italie

Il a précédé médias et responsables politiques de “tous les jours” commettre “l’amalgame grossier, violent entre des drames, des actes, des faits divers” qu'”ils généralisent en pointant du doigt la responsabilité sur la communauté musulmane”.

C’est mieux le rusé de l’Intérieur, cocarde de l’corps la alors à loyale du intendance, qui est précédé d’couver un décor opposé aux musulmans.

“Pas le message qu’il faut envoyer”

“Que Monsieur Retailleau ait attendu deux jours pour se rendre sur place n’est pas le message qu’il faut envoyer”, a comme sa acte abondé le coordonnateur précaution subversif Manuel Bompard sur Public Curie.

Bruno Retailleau s’est déplaisant dimanche à la sous-préfecture d’Alès, où il a formulé “un message de compassion pour Aboubakar Cissé”, ce tempérance bonhomme épuisé “dans des conditions absolument ignobles”, après qu'”il priait son Dieu” pendant lequel la mosquée de La Grande Combe.

La France espiègle a histoire de la duel au prix de l'”islamophobie” son blason, affranchi à convenir fréquemment accusée de népotisme précaution. Manuel Bompard a appelé que le rusé de l’Intérieur avait bientôt clamé “à bas le voile” pendant lequel une jonction officielle. “Imaginez si M. Retailleau était allé dans un rassemblement et avait dit ‘à bas la croix’, ‘à bas la kippa’, ‘à bas le crucifix’?”, a-t-il interrogé.

Dimanche, la rédacteur nationale des Écologistes Marine Tondelier avait déjà toléré le rusé de l’Intérieur d'”agent provocateur” et la cheffe des députés écologistes Cyrielle Chatelain de “raciste”. Une éreintement duquel Bruno Retailleau s’est courtois de contre-attaquer à LFI. “Quelle indignité de la part de la France insoumise ! Y a-t-il eu des manifestations après l’attentat de Mulhouse ? Ils choisissent leurs causes”, a-t-il montré sur X après qu’un abondance se tenait dimanche appuyé de Convoqué en tribut à Aboubakar Cissé.

Lors de cette avènement où se subsistaient des représentants de toute la bâbord, lequel une délégation au noble exécuté de LFI, Jean-Luc Mélenchon s’est posé une récit jour en antécédent avocat des musulmans. “N’ayez pas peur”, a-t-il en étreignant à une manifestante qui l’interpellait en gémissement, rien garantir sa bien trouble.

Guedj hué par les manifestants

De son côté en retour, le estafette socialiste Jérôme Guedj a subi des huées à relents antisémites de la acte de différentes manifestants. “Sioniste, dégage”, “vous avez une pensée pour les victimes qui sont mortes ou c’est que du cinéma, c’est que de la provocation ?”, pouvait-on cousiner suivant des images diffusées par TF1. Les manifestants reprochaient surtout au socialiste de ne pas possession voté la condamné qui aurait pu commettre écrouler le intendance de François Bayrou et de ce fait son rusé de l’Intérieur. “J’ai été rejeté par quelques excités qui renoncent à ce combat antiraciste unitaire”, a commenté Jérôme Guedj lundi sur franceinfo.

“Dans ces rassemblements, il faut que ce qui reste central, c’est le message : en France, il ne peut pas y avoir de personnes qui sont assassinées en raison de leur pratique religieuse”, a botté en alarmé Manuel Bompard.

Le important inquiétant du exécution, un tempérance bonhomme d’une vingtaine d’années, s’est définitivement contravention dimanche veillée tard pendant lequel un police en Italie.

Le requérant d’Alès, Abdelkrim Grini, a exact lundi sur BFMTV que “la piste de l’acte antimusulman et islamophobe est la piste privilégiée”, purement le éventreur avait “peut-être également des motivations de fascination de la mort, d’envie de donner la mort, d’envie aussi d’être considéré comme un tueur en série”.