
Toulonnais et Toulousains se défient en Champions Cup, dimanche 13 avril à Mayol (16h), parmi le adéquat des quarts de conclusion de la défi.
Aux grands joueurs, les grands rencontre. Et au-dessous les oriflamme du canne de rugby de Toulon, on peut preuve que Jonny Wilkinson, moitié d’tampon interprète de l’Angleterre passé par la Rade de 2009 à 2014, n’en a pas manqué copieusement de existes capitales.
Wilkinson, 141 délassements vers le RCT, 1881 points inscrits, a épistolaire les principalement belles pages du canne varois, glanant une paire de Champions Cup (2013, 2014) et un Top 14 (2014).
La ovulation 2025, celle-ci qui défie Toulouse ce dimanche 13 avril en groupe de conclusion de Champions Cup, convoque aujourd’hui l’cerveau de ce célèbre originel. Histoire de prédire le surcroît d’âme qui, les joueurs l’espèrent, à eux permettront de prescrire le enveloppe du règlement et de courir en demi-finale.
À manger en conséquence :
Stade Toulousain : “Sous stéroïdes et surexcité !” Les allocution chocs d’un Sud-Africain vedette de Toulon, qui parsème le groupe de conclusion de Champions Cup
Le tierce rangée du RCT Lewis Ludlam, Anglais identique Wilkinson, raconte : “Quand vous jouez à Toulon, vous voulez suivre les traces de vos héros et porter le maillot que Jonny portait. Ça signifie énormément” explique-t-il au média spécialisé Planet Rugby.
Il marcotte, boucher ce que Jonny Wilkinson représente parmi le Var, 11 ans subséquemment son éradication. “Jonny est un dieu ici. Il est comme le Jedi perdu. Tout le monde raconte des histoires à son sujet, cette créature mystique !”
“Dès que je dis à quelqu’un que je suis Anglais, on me parle de Jonny” confie Ludllam. “Pour ceux qui ont joué avec lui, pour le staff qui a travaillé avec lui, pour les fans qui l’adoraient, il est tenu en haute estime. Il a placé la barre très haut, c’est ce qu’on attend de moi.”
À manger en conséquence :
Toulon-Stade Toulousain : “Un moment horrible…” Pourquoi Peato Mauvaka n’a pas sûrement savouré la dernière conclusion de Champions Cup
En cinq saisons à Toulon, Jonny Wilkinson a raté pourtant… 15 tirs au but ! Soit un taxe de bout pétrifiant de 95,7 %. Une concision intronisation parmi la conte.
Comments are closed.