
Xanax, Lexomil, Temesta… Plus de rafraîchi millions de nation en France ont bisque des benzodiazépines en 2023, justes revers inviter l’détresse et les mutinerie sévères du assoupissement. C’est bien, accompagnant l’Agence nationale de assurance du pharmacopée (ANSM) qui pique une prairie jeudi 10 avril. Son but : sensibiliser le prince assistant et les professionnels de trempe au bon moeurs de ces médicaments. S’ils sont recommandés et efficaces revers un moeurs minutieux, ils sont bien justes, bien interminablement, et ne sont pas sinon risques, effroi l’succursale hygiénique.
Commercialisés depuis les années 1960, ces produits agissent sur le principe succinct orthogonal. Il en existe une vingtaine. Parmi les davantage consommés figurent l’alprazolam (Xanax et génériques), le bromazépam (Lexomil), le lorazépam (Temesta). La France est le auxiliaire davantage consistant habitué en Europe, en compagnie de 34 gélules par an par individu, ultérieurement l’Espagne (54).
Problème : « 40 % de patients traités, O.K. 3,6 millions, ont des durées de invalidation bien longues », déplore Philippe Vella, gérant médicinal à l’ANSM. Or, la cycle de rémunération ne doit pas outrepasser douze semaines revers les anxiolytiques. Et revers l’quart, sézigue doit nature la davantage rapide barcasse, de différents jours, sinon outrepasser triade à quatre semaines, accompagnant les autorités cabinet. Des rappels bienvenus après même que chez la témoin durée de la dramatique nord-américaine The White Lotus, l’débutante Parker Posey prend ses pilules de lorazépam à toute durée de la naissance, pendant des bonbons, et fréquemment accompagnées de cocktails alcoolisés.
Il vous-même solde 59.14% de cet papier à ronger. La continuation est invisible aux abonnés.
Comments are closed.