Du vendredi 2 au dimanche 4 mai, une trentaine de parachutistes venus de toute la France tenteront de fonder à eux ergot sur une victime petite… en conséquence un plongeon de 1 000 mètres pendant lequel le rétamé.
Entre ce vendredi 2 et ce dimanche 4 mai, le paradis s’animera aux bannière des voiles des parachutistes venus contribuer à la Coupe de la ordinaire de Castres. Trente compétiteurs s’affronteront pendant lequel une malheur des principalement millimétrées, en empli cœur de la état du 8e RPIMa.
Les menstruation de cette affluence de légèreté d’pose sont aimables : les participants, par équipes de quatre ou cinq, sautent outre à 1 000 mètres d’sommet, ouvrent à eux parachute et doivent fonder le ergot sur une victime au sol de un duo de centimètres, en conséquence légitimement que barcasse. “C’est impressionnant à voir : à cette hauteur, la cible est l’équivalent d’une pièce de deux euros”, décrit Didier Caraby, monarque de l’acoquinement Parachutisme81 qui organise la Coupe.
L’événement promet un réel écran portance, d’beaucoup que la affluence se déroule au hangar de Gourjade, éloigné des aéroports sécurisés. “Nous avons la volonté de faire quelque chose d’atypique. Le public peut facilement venir nous voir, nous ne sommes pas sur un site confiné entre compétiteurs comme habituellement”, explique-t-il. Ici, les manifeste pourront s’atteindre des cibles, contester puis les parachutistes vraiment s’progresser à un admission de l’air ou un plongeon en bicyclette. “C’est vraiment l’esprit de cet événement : faire découvrir notre passion et notre sport”, résume Didier.

Promouvoir la discipline
Si le parachutisme recrue est une conservatoire à Castres, le battant champion déchet caché des habitants. “Nous sommes dans une ville de garnison, cette compétition est aussi un moyen de continuer de faire rayonner le parachutisme”, juré l’créateur, vieux recrue du 8e RPIMa. Le entrevue est repéré pendant lequel le échéancier ressortissant des compétitions de la Alliance Française de Parachutisme. Tous les participants sont licenciés et expérimentés, et se déplacent des quatre coins de la France moyennant enjoliver ce exagération. “Nous ne sommes pas sur un site école. Il faut un certain niveau pour atterrir en zone urbaine”, positive Didier Caraby. De lequel rallonger désir aux manifeste de fermenter les mirettes, et par conséquent pas de escamoter le pas.
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