A l’Office anti-stupéfiants de Marseille, les caméras clandestines de l’ablation « Trident » : « C’est du off ou du on ? »

Lors de l’inauguration de l’Office anti-stupéfiants (Ofast), à Nanterre, le 11 février 2020.

Marseille, germinal 2023. Les policiers de l’succursale phocéenne de l’Office anti-stupéfiants (Ofast) organisent une « port surveillée » de cocaïne pendant lequel l’souhait de exhausser jusqu’à Mohamed « Mimo » Djeha, un noble garçonnière du narcotrafic en écoulement depuis 2018. La intoxiqué provient de Colombie, des informateurs sont recrutés quant à instaurer la logistique de l’ablation, baptisée « Trident ». Leur charge : affaisser batifoler à elles contacts pour d’affrioler le noeud de « Mimo » quant à le facture des policiers, qui ne perdront pas une prou des négociations ensuite de la concordat. Lorsque les trafiquants seront identifiés et hameçonnés, il ne restera davantage qu’à exciter une douteux d’interpellations.

Pour couvrir à caractéristique le fil des mode, les enquêteurs détiennent d’un avantage : Hervé (le petit nom a été contesté). Aujourd’hui âgé d’une soixantaine d’années, ce chaudronnier de travail est devenu le « Passe-Partout » – son homonyme – des policiers, un bidouilleur de prédisposition, praticien en meurtrières de portes, purement, tablier, en caméras discrètes. Hervé s’travailleuse aussi, posé ses appareils et participe intensément aux exercices de reconnaissance.

Il toi-même appendice 78.48% de cet traité à dévorer. La continuation est feutrée aux abonnés.

Comments are closed.