Ancienne professeure de mathématiques à Notre-Dame-de-Bétharram dans lequel les années 1990, Françoise Gullung est devenue l’une des principales opinion à indiquer les sévices au torse de l’change. Aujourd’hui, sézigue accuse le Premier diplomate François Bayrou d’disposer été alerté dès 1995.
Auditionné par la frais d’investigation excellence remplie d’départager sa gouvernement de l’avoir Bétharram, jeudi 15 mai, François Bayrou est beaucoup boni sur les déclarations de Françoise Gullung. Cette première maîtresse l’accuse d’disposer fermé les mirettes sur les sévices au torse de l’change Notre-Dame de Bétharram. Aujourd’hui, 112 hommes ont déposé plaintes afin sévices, viols et agressions génésiques.
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Professeure de précis
Cette première maîtresse de mathématiques à Bétharram dans lequel les années 1990, a affirmé en dessous blasphème lorsque d’une écoute le 26 germinal inédit disposer alerté François Bayrou sur des faits pourpre impliquant des petits scolarisés dans lequel l’change. Une état que réfute tout à fait le Premier diplomate. Lors de son écoute, il a instruit l’maîtresse d’disposer “affabulé”. Une proposition qui n’a pas manqué de la employer contester sur BFMTV, “J’entends quelqu’un qui dit n’importe quoi”, précédemment d’additionner, “il est dans le déni de toute responsabilité”.
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Dès janvier 1995, Françoise Gullung attesté disposer adressé un liminaire chaise à François Bayrou, plus diplomate de l’Apprentissage nationale, ensuite disposer été tiers de faits de sévices sur des petits de l’change livresque. Elle lui aurait adressé un annexe chaise en germinal de la même période.
Lorsqu’sézigue a été recrutée par l’change sézigue avait 47 ans et uniquement 15 jours ensuite son nomination, sézigue assiste impuissante à une chaire de emportement dans lequel quoi un élève est cruellement ruiné. Selon Françoise Gullung, lorsque de cet division, Elisabeth Bayrou, sirène de François Bayrou, aurait été tracé et sézigue serait restée dépersonnalisée. “Le gamin pleurait et demandait grâce” a-t-elle gazette contre de Médiapart. Elisabeth Bayrou aurait sincère : “ces enfants, on ne peut rien en tirer”.
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Victime de menaces
Depuis, l’première maîtresse de mathématiques a subi de nombreuses stigmatisations afin disposer tenté de casser le obscurité qui régnait à Notre-Dame de Bétharram. Déjà à l’siècle, sézigue aurait été la dessein de menaces et d’agressions physiques. Dans l’diffusion C à Vous, sézigue a gazette que figure à l’sommeil de François Bayrou, sézigue a informé les élèves de l’change de l’matérialité du 119, un immatriculation d’devancé afin les petits maltraités, mis en assuré par le Parlement en 1989. Une posture qui continuateur sézigue, va employer débiliter la données. “À partir du moment où j’ai donné aux enfants le 119, ça a été insupportable pour eux”, explique l’ex-enseignante.
À l’siècle des faits, la tutelle de Notre-Dame de Bétharram aurait attaqué des élèves encore âgés à l’abuser au aucunement de lui “provoquer un accident” qui lui a “fracturé les os de la face”. Au hygiaphone les menaces auraient continué de la valeur de “grands” de l’change : “Tu vas te faire casser la figure, on va mettre le feu chez toi”, attesté Françoise Gullung.
Après ces composite incidents, la tutelle de l’change lui aventure comporter qu’sézigue devait convoquer sa virement. Peu de instant ensuite, sézigue aventure l’question d’un lien d’vigilance, le esseulé qui a été exécuté dans lequel toute l’feuilleton de Notre-Dame de Bétharram.
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