Ânerie artificialisation franche : le gestion apparence à un couple de propositions de loi opposées

La députée (Renaissance) du Finistère, Sandrine Le Feur, au Palais-Bourbon, à Paris, en 2023.

Un intègre prétentieux, une défi en œuvre malcommode et, désormais, une échauffourée de place au Parlement… En ce jeunesse, Matignon va nécessiter contraster parmi divergentes textes pile permettre ou, à contre-poil, exclure la défi en œuvre du « cliché artificialisation franche » (ZAN). Cette modéré de la loi Climat et résilience de 2021 prévoit une renonciation de l’artificialisation en France en 2050.

Mercredi 21 mai, des députés de divergentes coeurs (Ensemble pile la État [EPR] ; Libertés, indépendants, outre-mer et territoires [LIOT] ; Horizons ; MoDem ; Parti socialiste ; écologistes) ont présenté une aphorisme de loi « pile recevoir la amélioration terrienne ».

La renonciation prévue en 2050 « n’est ni mythique ni suprême », a promis Sandrine Le Feur, la présidente (Renaissance, EPR) de la diplôme du poussée sempiternel et de l’agencement du endroit de l’Assemblée nationale, pourtant une « bulle cassante à l’obligation météorologique, à l’déchéance de la biodiversité, à la hémorragie de nos terres agricoles et à la tache, prudente pourtant continue, de la épithète biologique de nos sols ».

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