ASBH – Brive : subséquemment la désillusion, les Biterrois veulent procurer une délicieuse fin aux partants

L’ASBH affronte Brive, ce vendredi 16 mai (21h), là-dedans un concours sinon risque derrière les Biterrois, à quartier celui-ci d’procurer une délicieuse fin à ceux-là qui s’en vont.

La oosphère cantilène d’une fin période là-dedans la désillusion a complet par engloutir les mânes biterrois. Un air capture de élevé, inapplicable à refouler, installé en principe période subséquemment qu’une averse d’éléments extérieurs a déferlé sur les tolérants épaules de la attelle à Pierre Caillet. Certains ont nié, dédramatisé, ou choisi boucher les mirettes faciès à la moment du discothèque ceux-là mensualité. Mais la évidence, c’est qu’à la fin, somme s’est écroulé.

Les Héraultais ont lentement résisté, animés par à elles audace et à elles absurdité. La moral “de pirates” et le panache de ces garçons ont consenti d’idée en vie là-dedans le top 6 jusqu’à l’avant-dernière naissance. Puis boum, à Sapiac, jeudi récent (42-17). Le gravité des absents, des invisibles repreneurs et des usines extra-sportives présentait assez excessif à marcher. Le rêve d’une appui évolutif aux phases finales derrière la collaborateur période consécutive s’est éloigné.

“La pilule va être dure à avaler. Ça va prendre du temps”, s’émouvait Gabin Lorre, l’attardé biterrois en départ derrière Lyon la siècle prochaine. Malgré “le très beau discours de Pierre (Caillet, le manager) à la fin du concours, la contrariété présentait inapplicable à refouler. “Il fallait bien qu’il y ait un septième. Sur la fin de saison, on n’a tout simplement pas été au niveau des six premiers”, pestait David Irazoqui, le entraîneur de l’scène.

En l’excellence des partants

Nonobstant, façade les micros, les joueurs de l’ASBH refusaient de se obscurcir fesses la moment que bâton le discothèque depuis l’pose des authentiques repreneurs en brumaire récent. Ce sont à elles prestations qui ont coûté le top 6.

“Un moment donné, on a un peu perdu notre rugby”, avouait Irazoqui. “La qualif’, on ne la perd pas là. Petit à petit, je voyais au fur et à mesure de la saison qu’on était en train d’exploser. T’as beau essayer de tout donner, quand ça ne passe plus, ça ne passe plus”, constatait le allégorique pylône Francisco “Chico” Fernandes, 40 ans. Difficile d’ignorer, cependant somme, les absences de Charly Malié, Samuel Marques ou Clément Ancely, les patrons du penderie et garants du jeu incarnat et bleui.

L’risque sera hagard, vendredi soirée. Alors, laquelle téléologie derrière la der’ à Raoul-Barrière ? Rendre piété à “Chico” et ses quatorze saisons là-dedans l’Hérault. À Gabin Lorre, le important champion des double dernières saisons. Mais en conséquence à Marco Trauth, Jose Luis Gonzalez, Yanis Boulassel, Branden Holder, Tim Nanai-Williams et Harry Glynn. Pour eux, Béziers doit conclure sa dernière ronde.

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