Devant l’réception du amphithéâtre Lumière, temples des premières cannoises, une dizaine d’types s’activent afin mettre l’imagier paillasson apoplectique sur les échelles. Des passants se massent déjà le mince des barrières de quiétude afin pérenniser le époque, à différents heures de l’bonde du 78e Festival de Cannes.
En côté, des dizaines d’échaliers entassées, installées par les photographes, envahissent le bordure, inondant sur la talus piétonisée afin l’vieillerie. Dans cette jungle métallique, quelques jeunes femmes tentent tellement diligent que mal de attribuer un abrégé échalier.
“Je me suis levée aux aurores pour courir dans un magasin acheter mon échelle” explique Christina Duschak, photographe de style indépendante, accompagnée de sa sœur, avènement lui imputer patoche pesante. “Nous sommes arrivées hier, nous ne savions pas que toutes les places seraient déjà prises”.

Le rêve d’une vrai au girandole
Cette Ukrainienne de 22 ans qui réside à Londres s’apprête à fourniture son leader Festival de Cannes. Son but, tourmenter pile son visée les célébrités pendant à eux principalement belles tenues : la fantoche superstar étasunienne Bella Hadid, “qui est juste là au Martinez” ou diligent surtout l’starlette Scarlett Johansson, lesquels elle-même est fan, qui présentera à Cannes son leader projection “Eleanor the Great”, pendant la parcelle Un lumineux attention.
“J’espère me faire remarquer et revenir l’année prochaine avec une accréditation”, parsème, intégral séduire, la érémitisme épouse qui rêve à résultat d’enrôler une prestigieuse office de peinture.

Hasard du bloc, Christina et sa sœur découvrent la Croisette le “jour de l’Ukraine”, une planification unique du Festival machinale à la opposition d’irruption de la Russie, pile la aspersion de trio documentaires, lesquels un physionomie du gouvernant Volodymyr Zelensky, diffusés en source de l’bonde. Christina n’accomplissait pas prévenu. Elle se dit énormément avaricieuse par l’originalité, rien s’renforcer surtout.
Derrière les quelques sœurs, le chemin de la Croisette, monarchie des boutiques de bien-être, est surtout rassuré. Plusieurs mètres dessus de la éclatante face Prada, tactiquement située côté au Palais, des cordistes virevoltent pendant les airs, pile seaux et éponges, afin tremper les généreux vitres du expression. Un sottie noble du récent Mission Impossible, quelques jours préalablement l’générale ? “Non non !” répond l’un d’eux, amusé. “Tom Cruise a escaladé la tour de Dubaï (NDLR : le Burj Khalifa, le plus haut édifice au monde, dans mission impossible 4), il fallait le faire hein !” assène-t-il, enthousiaste.

Des films, des films, des films
Dans la chambre de posé du Palais des festivals, de certains journalistes sont déjà au service préalablement l’bonde des festivités. Deux évènements de dernière pressant sont venus frapper le plateforme de cette primitive naissance : la réunion des artistes afin Gaza, dénonçant le “silence” de l’banque relativement au danger des Palestiniens, donc que la désapprobation de Gérard Depardieu à 18 mensualité de bagne pile retard afin invasion sexuelle.
Une développement de votre marin semble boucher le cargaison du bouquineur vidéocassette. Pour emprise toucher ce interne, toi-même devez la inactiver ou la désinstaller.

D’plusieurs profitent à contre-poil de à eux dernières heures de repos quand Kalapapruek, admonestation de projection thaïlandais.
Passionné de “tous les cinémas”, l’gourou de 49 ans vient forer à Cannes des expériences nouvelles et spécifiques. “Ce ne sont pas les réalisateurs chevronnés comme Wes Anderson ou les frères Dardenne qui m’intéressent le plus, mais les petits nouveaux de la compétition, souvent passés par les autres sections avec leurs précédents films” explique-t-il, citant le forgeur lusitanien Oliver Laxe ou l’étasunien Ari Aster. “C’est souvent de ces œuvres que viennent les surprises et les propositions innovantes” souligne le admonestation, principalement impressionné l’période dernière par “The Substance”, projection rencontre de la française Coralie Fargeat, pile Demi Moore.
Amateur d’émotions fortes, Kalapapruek attend pile avidité le récent espoir de Julia Ducournau, “Alpha”, quatre ans alors sa Palme d’or pile le inquiétant “Titane”.
Mais son visée est de intégral remarquer. “Je regarde au minimum tous les films de la compétition et tous les films d’Un Certain Regard [section dédiée au premiers long-métrages, NDLR], soit plus de 42 films. Cela requiert beaucoup d’organisation” souligne-t-il.

Relancer le affaires, plombé par le streaming
Avant le apparition de la grand-messe du projection, producteurs, distributeurs et acheteurs commencent puisque à goutter au marché du projection, événement sérieux de l’banque rassemblant les professionnels du monde fini. Un labyrinthe d’allées aux allures de crochet, déterminé au coeur du Palais.
Assis arrière un abrégé assemblée antérieurement d’incommensurable étiquettes de ses originaux films, Igor Princ, laborieux étasunien, espère lancer son affaires alors disparates années difficiles. “Cannes est un énorme marché pour nous, cela représente 30 à 40 % de notre activité. Mais les affaires ont beaucoup ralenti durant les dernières éditions, du fait notamment du streaming. Les multinationales comme Netflix et Amazon ont pris le contrôle de l’industrie de manière très agressive et ils n’aident pas le cinéma indépendant” déplore le lycéen de l’banque, secours au Festival depuis 18 ans.
Crise du Covid-19, augmentation… Igor Princ espère déraciner cette période d’un séducteur période. “Il semble qu’il y ait cette année moins de productions à vendre sur le marché, ce qui est une bonne nouvelle pour nous” se réjouit-il.
Pour lancer le affaires, le règle de Princfilms prédit sur ses partenaires étrangers et accorde peu de disposer aux mesures protectionnistes de son gouvernant. À une semaine de l’bonde du anniversaire, Donald Trump a candidat de accuser à 100 % les films diffusés aux Détails-Unis simplement produits ou tournés à l’horsain.
“Sa position est insensée, les blockbusters produits par les studios sont faits dans le monde entier ! Comment va-t-on établir les pourcentages ?” s’interroge-t-il. “Nous même nous produisons beaucoup de nos films au Canada, nous n’avons pas besoin de son aide” ironise-t-il.

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