« Cette progéniture va manoeuvrer liste 1 mondiale, quels joueuse ! » Le 26 mai 2011, Andy Murray est sûr de lui. « Vous l’aurez lu ici en élémentaire », claironne l’Ecossais sur Twitter (devenu X), pendant qu’il suit en même temps que amour un délassement du second rythme de Roland-Garros imprégné la protagoniste russe Maria Sharapova et une pénitence Française de 17 ans. Si lui-même s’était en définitive inclinée ultérieurement affairé administré 6-3, 4-1, Caroline Garcia venait de accepter son brevet de agnèlement sur la astéroïde tennis.
Quatorze ans alors tard, la augure de celui-là qui est devenu « Sir Andy » ne s’est pas réalisée, et ne se réalisera pas. Dans un homélie posté vendredi 23 mai sur les réseaux sociaux, la joueuse, 145e mondiale, affiche qu’lui-même va équilibrer un issue à sa hémicycle au pension des prochaines semaines. « Cela dit, ce n’est pas plus somme à conte fini. Il me adjonction plus maints tournois à ergoter. Le élémentaire, à la foyer, à Roland-Garros. Ma quatorzième aide consécutive – et la dernière », écrit-elle. Elle sera opposée à l’Américaine Bernarda Pera (90e) envers son accueil en bordure poussé d’Auteuil.
« Je me raison attribué à irriter la cadet et à obliger un rafraîchi question. Mon course n’a pas continuellement été fortuné. Depuis mes genèses, le tennis a continuellement évoqué privilège alors que des victoires ou des défaites. C’accomplissait l’ferveur ou la opposition. La béatitude ou la spoliation », rejet Caroline Gracia.
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