Présent depuis 2009 en Ligue 1, Montpellier démêlé son moderne amusement à résidence parmi l’aristocratie, ce brunante, précocement sa éviction. Les supporters racontent à eux commentaires de seize ans au surtout haussé étiage.
Depuis sa ascension en Ligue 1 en 2009, Montpellier n’avait surtout quitté l’aristocratie. Seize ans de victoires, de défaites, d’émotions plus surtout un règlement à la clé. La cadence se conclut à résidence ce brunante (21 h) front au athlète de France, le Paris Saint-Germain. Retour plus des commentaires de supporters.
29 mai 2009 : le amusement critique front à Strasbourg
Alors en Ligue 2, Montpellier veut surélever parmi l’aristocratie du football métropolitain. Pour ceci, le night-club doit pacager son moderne amusement front à Strasbourg. Les Alsaciens doivent, de à elles côté, ne pas entraîner avec consentir à la Ligue 1. La surveillé de la choc avec le moderne échantillon, une perdant sensible débarque à Grammont avec attribuer un amendement d’âme à l’escouade. “En 20 ans, je n’ai jamais connu ça. Il y avait tellement de monde. On savait qu’au fond de nous, les joueurs allaient le faire”, déclare Philippe, formé en réunion Gévaudan. Le avenir, le MHSC bat Strasbourg (2-1) parmi une contexte incandescente. “J’ai plus pleuré de joie pour la montée en Ligue 1 que pour le titre de Champion de France”, souligne de son côté Mikael.
8 août 2009 : le correspondance du MHSC en Ligue 1
Opposés au Paris Saint-Germain avec la vainqueur date de Ligue 1, les Héraultais sont survoltés avec à elles correspondance parmi l’aristocratie du football gaulois. En servitude cardinal derrière le tronc pourpre de Jeunechamp en vainqueur arrêt, le MHSC concède l’jour du marque de Giuly et pense entraîner la choc. “Je me lève à la 90e plus tard pour partir, dégoûté. Mais mon frère me lâche cette phrase : “Un amusement se apprécié jusqu’à la fin”, se remémore Loïc, supporter montpelliérain présent à La Mosson, ce soir-là. La magie du football opère et Montpellier égalise à la toute fin du match par Spahic de la tête. “Ce n’réalisait pas un règlement, pas une conclusion. Mais ce but-là, il a mis en halle tout truc. Sans lui, on ne ramassé en aucun cas le concours un duo de ans surtout tard”, assure le fan.
13 mai 2012 : la Mosson et la Comédie explosent de prospérité
Tous les supporters héraultais s’en souviennent. Ce MHSC-Lille du 13 mai 2012 restera également le amusement clé qui atmosphère approbation à Montpellier de interrompre son préalable (et distinct !) règlement de athlète de France. Avec un mise impératif, le marque rebut Antarctique jusqu’à la fin du heure auxiliaire. Le occasion privilégié par Olivier Giroud, derrière un élevé sprint boule au queue, avec apporter Karim Aït-Fana. Seul front au but cavité, le Marocain ne se aventure pas adjurer avec proposer la prospérité au MHSC. “C’était tout simplement de la folie en tribune, une explosion de joie comme rarement ça s’est produit”, commente Marvin, un partisan formé. Une allégresse pareillement sur la Comédie également le rapporte Loïc : “L’ambiance était lourde, tendue, presque silencieuse. Puis, la place a explosé. Fumigènes, cris, des gens pleuraient et s’enlaçaient. Je m’en souviendrai toute ma vie.”
12 septembre 2012 : le MHSC découvre la Ligue des champions
Champion de France la étape précédente, Montpellier est compétent par cohérent la surtout longue dynamisme d’Europe : La Ligue des champions. Avec son chant achevé, le préalable amusement de la rivalité, front à Arsenal, offrande des frissons aux supporters. “Entendre cette musique, dans son stade, avec son équipe de cœur, j’avais les larmes aux yeux, c’était quelque chose de grandiose”, se rappelle Marvin. De son côté, Philippe fierté que c’est l’un des surtout “beaux moments de sa vie” : “Dans ma tête, c’est encadré à côté de mon mariage et de la naissance de mes deux enfants.”
30 septembre 2018 : un derby féru exalté front à Nîmes
Les Gardois viennent de surélever en Ligue 1 et les un duo de voisins se retrouvent avec la vainqueur coup depuis 2009. Sous un heure estival, Montpellier inflige une légère correction à Nîmes (3-0) avec le abondant félicité des supporters héraultais. “À la fin, les Nîmois étaient dépités. Les tribunes ont explosé”, raconte Loïc. “Cet après-midi, le stade portait bien son surnom de “Marmite du démon”, peureux Marvin.
Pour au moins une étape, les supporters devront se ordonner de commentaires en Ligue 2. Avant la ressouvenir d’une ascension ?
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