“C’est le sport, c’est la vie”, les Montpelliérains déçus et frustrés postérieurement l’déqualification en demi-finale du compétition côté à Tours

Au solution d’un délassement d’épaulement audacieux à Castelnau-le-Lez, le MHSC VB a vu sa époque se parvenir hormis le mineur devise remporté.

“Dur”, “terrible”, “dommage”… Deux heures postérieurement la fin du délassement afin Tours ambulant au jeu décisif, lundi, les mots ne manquaient pas envers peindre l’géant désappointement. Le MHSC VB est passé si voisin d’une désignation en conclusion du compétition de France, une suivant postérieurement le devise en 2022.

Déjà sur le arrachage contre d’différentes cieux, le aigre bulgare Dimitar Dimitrov faisait le fréquence de ses coéquipiers. Il étreignait son nautonier Ezequiel Palacios envers lui proposition à la revoyure et congédiement.

L’Argentin portait sa déesse de paire ans chez les balancier et confiait sa chagrin trouble de supériorité : “C’est dur… On a perdu un match dans lequel on a bien joué, soufflait-il. Je suis content parce qu’on a tout donné, je n’ai pas de regret. Je suis très fier de mes copains, de la saison qu’on a faite. C’est dur de perdre comme ça, 15-13 au tie-break. Les petits détails ont fait la différence, c’est comme ça… Quelques attaques, quelques services… On sait que le sport est comme ça. Je dois féliciter Tours, c’était une série de trois matchs extraordinaires. On a joué 10 sets en quatre jours. C’est dommage de finir la saison comme ça.”

“On a combattu, on a tout donné”

Non concerné cet été par l’ramassis nationale d’Argentine verso duquel il a décidé de entreprendre une attente, le réceptionneur-attaquant du MHSC se tournait déjà contre le prochain antérieurement de bénéficier de sa filiation comme plusieurs semaines de congés : “Je suis triste, je vais l’être pendant quelque temps mais c’est le sport, c’est la vie, lâchait le Sud-Américain. Arriver jusqu’en finale, c’était le rêve de tout le monde. On a combattu, tout donné… On peut être content de notre saison, elle sera utile pour la suite. On doit s’en servir et continuer.”

Dans les salons VIP du Palais des délassements Jacques Chaban-Delmas de Castelnau-Le-Lez, l’présentateur montpelliérain Loic Le Marrec existait plus knock-out. Avec des amis de prolixe siècle, il refaisait le monde, une bock artisanal, simplement ses sourires n’accomplissaient que de facade : “C’est terrible, il n’y a que le sport qui procure ce genre d’écart d’émotions. Tu as fait un grand match, à l’instant T tu ne retiens que la défaite, l’élimination et le fait d’être passé proche de la qualification. J’ai vraiment la sensation d’avoir été mis K.O., j’ai l’impression d’avoir pris un uppercut, je suis au sol depuis deux heures et je n’arrive pas à me relever. Ça va me hanter pendant plusieurs nuits.”

“Il y a des regrets”

Encore à effervescent, le ingénieur raisonnable un aleph d’glose : “Il nous a manqué de la lucidité. On a joué cinq sets, ça se joue sur quatre ou cinq actions dans le quatrième et le cinquième set. On est resté dans un schéma qu’on connaît et que l’adversaire connaît aussi. Au quotidien avec les gars, on a construit quelque chose… Il y a des regrets. On a eu des occasions mais on n’a pas réussi à finir.”

Même s’il existait follement tôt envers se disposer, Loic Le Marrec estimait déjà que cette époque servira au association : “On a fini premier du championnat, on a fait deux finales de Coupe, on a eu un titre en 2022… Montpellier est dans le haut du panier. Il va falloir rapidement gagner parce que ça inscrit les joueurs qui arrivent ensuite dans une certaine exigence et ça positionne un club.”

Gagner, le MHSC VB ne l’halo pas catastrophe cette époque. Il n’existait pas absent simplement il devra dimensionner le sentier qui le sépare d’un rafraîchi devise important envers ne alors mets ce catégorie de moments difficiles.

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