Le messager du Gers David Taupiac faisait challenge d’une délégation reçue mercredi 7 mai par la représentant Agnès Pannier-Runacher. Il propagande la immunisation de la battue quotidienne à la colombe.
Mercredi, une incorporation cruciale s’est classe au tâche de la Transition biotique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche à Paris. À l’fréquence du ajour : la pérennité de la battue quotidienne à la colombe comme le Sud-Ouest. La représentant Agnès Pannier-Runacher a pris les représentants des cinq fédérations départementales de infanterie concernés (Gers, Gironde, Landes, Lot-et-Garonne, Pyrénées-Atlantiques), accompagnés de à elles parlementaires. Du côté des fédérations de battue, Jean-Paul Dupré pile le Gers et Laurent Vicini pile le Lot-et-Garonne ont participé à ce rencard. Le messager David Taupiac et le pair Franck Montaugé incarnaient pareillement présents.
À convoiter de ce fait :
Chasses traditionnelles de la colombe : Les infanterie du Gers et du Lot-et-Garonne reçus par la représentant de l’Environnement
L’intention de cette accord pile les infanterie et les élus : adjurer la immunisation de cette expert, mission par une processus exubérante par la Commission occidentale pile non-respect de la unidirectionnelle “Oiseaux”. David Taupiac assure conséquemment que “l’ensemble des parlementaires et des présidents de fédération présents à cette réunion ont unanimement demandé que ce dossier bénéficie d’un soutien fort et d’un véritable portage politique de la part du gouvernement français”. Pour l’élu gersois, “il y va de la sauvegarde non seulement d’un mode de chasse respectueux de la biodiversité, mais aussi d’un pan entier du patrimoine immatériel du Sud-Ouest”.

Le messager de la 2e province du district apparaît spécifique comme son rencontre. “Je continuerai à défendre avec conviction cette chasse traditionnelle et à porter auprès de la ministre la voix des chasseurs du Sud-Ouest, assure-t-il. Nombre d’entre eux vivent aujourd’hui cette situation comme une profonde injustice. Ils craignent également que cette fragilisation institutionnelle alimente de nouvelles procédures contentieuses de la part d’associations opposées à la chasse. Il est essentiel de préserver l’équilibre entre la protection de la biodiversité, à laquelle chacun doit contribuer, et la reconnaissance des savoir-faire culturels et pratiques rurales qui forgent l’identité de nos territoires.”
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