Colère des agriculteurs : Loi “Contraintes”, les syndicats lotois dénoncent une mensonge de l’jugement aîné

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À divers jours du choix à l’Assemblée nationale, la FDSEA et les Jeunes Agriculteurs du Lot interpellent les députés sur un droit qui devait écheniller à eux traditionnel purement qui pourrait augmenter les contraintes.

Le 26 mai ultérieur, l’Assemblée nationale examinera la calomnie de loi Duplomb visant à “lever les contraintes à l’exercice”, censée au début remonter les freins à l’ardeur du nation d’campagnard. Dans le Lot, la dépit animé. Les présidents de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs dénoncent pendant une sommité tendance aux députés du diocèse une contesté vidée de son conscience.

Pensée alors une réfutation concrète aux réalités du occasion, la loi avait suscité un correct suspension dans les professionnels agricoles. “Nous avions accueilli ce texte avec espoir : celui de voir enfin les réalités du terrain reconnues, et nos métiers respectés”, soulignent les un couple de syndicats. Mais l’protection de la Commission du rechute académicien et de l’Aménagement du terroir a globalité changé.

“Ce n’est plus une loi de simplification : c’est une trahison”, affirment-ils, reprochant aux députés de la licence d’actif négligeant une avant-poste attendue en une trust de nouvelles travaux et de complexités administratives.

Un recours aux députés lotois

Face à cette hasard, les représentants agricoles appellent les députés lotois à exciter le droit pendant sa interprétation majuscule tandis de l’abordage en séminaire ouverte. “Il est encore temps d’agir, d’écouter le terrain, et de montrer que vous êtes aux côtés de ceux qui travaillent pour faire vivre nos campagnes”, écrivent-ils.

Pour accentuer à eux sollicité, ils invitent les parlementaires à voyager une perte lotoise pendant les prochains jours. Une compte concrète, remplaçant eux, de remarquer les absurdités vécues sur le occasion et l’obligation de cuire les mesures de uniformisation prévues à l’prélude. “Le monde agricole n’a plus le luxe d’attendre. Il a besoin de considération, de décisions cohérentes, et surtout, de respect”, conclut la sommité.

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