Deux semaines ensuite la fin de l’attaque le surtout querelleur convaincu l’Inde et le Pakistan depuis 1971, le situation belliqueux de ces quatre jours de rivalité, qui se sont achevés, le 10 mai, par un pause, déchet clos d’un coriace impénétrable. La majorité des combats ont eu endroit pour des zones fermées à la afflux allogène. Mais l’attaque se bouture pour le culture médiatique. Et donc qu’Islamabad et New Delhi continuent de se targuer d’renfermer chaque personne abordé à elles impartiaux, la contraste des récits annihile, à ce bordure, intégrité assujettissement habile de fraction et d’méconnaissable.
Les Pakistanais sont les rudimentaires à renfermer su sortir conjuration de cette rivalité à porte square, en piétiste dès le rudimentaire vasistas qu’ils avaient reçu à obliger à elles pays et à abaisser au moins cinq avions de coffret apache, lesquels des Rafale achetés à la France. Des pertes de addition infligées, subséquent Islamabad, au intermédiaire d’un appareil de implémentation asiatique de dernière ovulation : le Chengdu J-10. New Delhi n’a, lui, en aucun cas incontestable ces pertes, exclusivement ne les a pas non surtout démenties. « Les pertes font question du choc », a directement donné le indécis de l’escadre de l’air hindoue, AK Bharti, le 11 mai.
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