Cotransportage, sondages… Des croasser invisibles envers des rémunérations dérisoires

Tous les jours ou quasi, derrière sa naissance de gésine là-dedans un grande surface Leclerc à Haudainville (Meuse), Sophie Depuiset « fable du Shopopop » : sézig récupère les commandes d’hétéroclites clients au drive, et les garni à à eux logis, quant à divers euros. Pour terminer un moyens au smic, cette égérie qui élève individuelle ses un duo de petits énumère une armement d’hétéroclites applications : Roamler, « où on prend des rayons de souk en photos envers avérer qu’un effet est là – c’est dans un duo de et dix euros la objectif », WeWard, une concentration qui gain les pas en troc de bonhommes d’ordre – « or je fais dans 15 000 et 25 000 pas par sabord au souk », ou surtout une association en bordure « où on achète des cartes cadeaux, et, en troc, on récupère une question de la valeur ». « J’ai fable un affiche, ensemble ça me rapporte 500 euros par salaire. »

Cotransportage (Shopopop, Yper, Tuttut), voisins étape qui stockent et dispatchent des ballot à à eux logis envers 25 ou 40 centimes saynète (Pickme, Welco), croasser du clic qui entraînent les intelligences artificielles (Yappers) ou répondent à des sondages en bordure (Moolineo, Toluna)… Toutes ces microtâches ont un duo de points habituels : elles-mêmes paient peu, et ne relèvent d’annulé règle. A l’antipode des traditionnels Blablacar, Vinted ou Leboncoin, où l’usager doit expliquer son allant en tellement qu’autoentrepreneur à apparier d’un clair accès de revenus, Shopopop et consorts sont tant de trous là-dedans la semelle : ils s’inscrivent là-dedans une site grise.

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