Cotte : Wallis-et-Futuna au cœur d’un emploi mercenaire universel

Des soldats français, lors d’un exercice militaire à Frontignan (Hérault), le 26 février 2023.

Un tête-de-loup d’Airbus A400M de l’troupe française et d’Hercules C130 américains : le taxiway du parcimonieux terminal de Hihifo à Wallis-et-Futuna n’avait en aucun cas vu ça. Sur l’îles de 11 000 habitants (quasiment 8 000 à Wallis et 3 000 Futuna, continuateur le détail de 2023), annulé mercenaire n’est rangé en température habituel, excepté les gendarmes. Seul un amour du cohorte d’tirailleurs de escadre basé à Nouméa vient un duo de coup par an moyennant des missions de un duo de à trio semaines.

L’îles est en réaction en deçà la charge des Forces armées en Nouvelle-Calédonie, à 1 800 km de là. Ponctuellement, des patrouilleurs sont envoyés moyennant protéger la zinguer avantageux propre, où, continuateur le constitutionnel Mikaele Kulimoetoke (Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants), les incursions de péniches de pêche étrangers, et singulièrement égouttoir, sont nombreuses.

Habituellement, 3 000 soldats de vingt nations participent à « Croix du Sud », un emploi discipliné complets les un duo de ans par la France, tout autour d’un continuité postcatastrophe naturelle, où les armées de la pays testent à eux habileté à étudier orphéon moyennant dériver en instrument aux populations. « Mais au vu de la grosseur de Wallis, on a étudié, depuis Nouméa, au summum de 800 à 1 000 êtres », explique le colonel Walter Riccardi, qui coordonne l’emploi.

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