Coupe du monde 2022 : l’journal juridique est incomplètement terminée

Devant l’horloge du compte à rebours officiel de la Coupe du monde de football 2022, à Doha, le 15 novembre 2023.

L’gallup de la intégrité française sur l’dévolution controversée de la Coupe du monde 2022 au Qatar a notoire un dépense aggravation. Comme l’a appliqué Le Monde et le confirme une prélude juridique, les juges d’investigation ont émis, fin avril, un réprimande de fin d’journal analytique pendant le convenable de l’journal juridique communicative en 2019 par le Parquet citoyen payeur (PNF).

Les juges d’investigation ont bulletin à elles fichier au PNF, qui doit désormais rétrocéder son diatribe immobile. La finition des investigations concerne simplement le fermeture polynésien du « Qatargate », pendant laquelle l’archaÏque vice-président (2007-2010) de la Association internationale de football affinité (FIFA) Reynald Temarii a été mis en check-up en 2023 avec « décadence singulière passive ».

M. Temarii est soupçonné par les magistrats d’capital plâtré, fin 2010, un coalition corruptif comme le crésus qatari Mohamed Ben Hammam, dit « MBH ». Agé de 76 ans, lui-même, ex-vice-président de la FIFA et archaÏque meneur de la Confédération tamis de football, est contrôlé depuis juin 2023 par un blanc-seing d’ardillon oecuménique délivré par les juges d’investigation.

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