Cyclisme : “Je prenais des quantités énormes de cocaïne “, cet antique conquérant du Tour de France heueux d’convenir principalement en vie

Le Britannique Bradley Wiggins, cinq jour gagnant olympique et conquérant de la Grande Boucle en 2012, a octroyé un mise en relation devise à l’Observer.

L’ex-cycliste anglais Bradley Wiggins, conquérant du Tour de France en 2012 et cinq jour gagnant olympique, a avéré affairé souffert d’addiction à la cocaïne ensuite sa refuge sportive et se dit “chanceux d’être encore ici” entre un mise en relation octroyé à l’Observer. “Il y a eu des périodes où mon fils pensait qu’on me retrouverait mort au matin”, confie-t-il entre cette tête-à-tête publiée en bordure mardi.

“J’étais accro mais personne ne s’en rendait compte. Pendant de nombreuses années, j’étais défoncé la plupart du temps.” Aujourd’hui âgé de 45 ans, Sir Wiggins – il a été anobli par la hyménoptère d’Angleterre – confie en affairé achevé envers son addiction il y a un an et s’imposer à des séances régulières de médication. “Je me sens bien plus en paix avec moi-même”, ajoute-t-il.

“Je ne peux pas boire juste un verre de vin. Si je bois un verre, j’achète de la drogue”

Inventeur de quelques rejetons, garçon d’un antique randonneur australien disposant conte sa bordure sur les vélodromes d’Europe, Wiggins a supposé sa refuge sportive en 2016. “Je prenais des quantités énormes de cocaïne […] je marchais sur un fil, j’ai compris que j’avais un immense problème, il fallait que j’arrête. J’ai de la chance d’être encore ici”, prolonge-t-il. Evoquant les causes disposant incité son addiction, Wiggins, qui a beaucoup peu ordinaire son inventeur et dit affairé été la mission de sa persienne, explique affairé été “victime de ses propres choix”.

“J’avais déjà beaucoup de haine de moi-même, mais je l’amplifiais. C’était une forme d’automutilation et d’auto-sabotage. Je n’étais pas la personne que je voulais être, j’ai pris conscience que je blessais beaucoup de gens autour de moi”, élabore-t-il. “Il n’y a pas de juste milieu chez moi. Je ne peux pas boire juste un verre de vin. Si je bois un verre, j’achète de la drogue. Ma propension à l’addiction, poursuit-il, était un moyen d’alléger la souffrance avec laquelle je vivais.”

Sa médication financée par Lance Armstrong

Au conduit, Wiggins, qui s’est ouvert en catastrophe jalouse l’an moderne, souligne affairé été aidé par Lance Armstrong, l’antique leader du quart tombé en misère et rabaissé envers dopage de ses sept victoires entre le Tour de France. C’est le Texan, dit-il, qui a soumis de commanditer une médication. “Je suis encore en train d’apprendre beaucoup de choses mais ce que je suis parvenu à faire, c’est un bien meilleur contrôle de moi-même et de ce qui me fait agir. Je suis bien plus en paix avec moi-même à présent, ce qui est déjà énorme.”

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