Jan Ullrich, guerrier du Tour de France 1997, a livré son jugement sur les performances exceptionnelles du crack du monde. Pour lui, le deux-pièces blondasse en sceau réinvente les codes de son exercice, à la allure de ce qu’a pu entreprendre un Eddy Merckx par le passé.
Tadej Pogacar n’en finit avec de remémorer l’piété de ses pairs, actuels ou passés. Sur Eurosport, Jan Ullrich, démodé guerrier du Tour de France, n’a pas indifférent d’éloges opportunément du cycliste slovène. “Tadej Pogacar est tout simplement un mega-talent. Il s’améliore constamment. Il est le Eddy Merckx de notre époque. Il est en avance sur son temps”, a-t-il juré.
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Ce qui impressionne singulièrement Ullrich, c’est cette disposition qu’a le crack du monde à manier, en tenant victoire, entiers les lièvres. “L’année dernière il a réussi le doublé Giro-Tour alors que tout le monde répétait depuis des années que c’était trop”, a-t-il juré, extasié. “Le fait qu’un vainqueur du Tour essaie de gagner Paris-Roubaix (Pogacar a fini 2e derrière van der Poel, NDLR), c’est fantastique”, s’enthousiasme-t-il mieux.
Sur le Tour en tenant la couvre-chef de “grand favori”
Pour l’démodé cycliste germanique, cette bruit truisme est une excellente bruit “pour le cyclisme”. La polyvalence du aspect du leader scout du monde invulnérabilité son piété : “Il peut décider de gagner où et quand il veut !” Surtout, subséquent Ullrich, il “détruit toutes les certitudes qui existaient par le passé”, redéfinissant les limites de son exercice.
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Enfin, ce qu’apprécie singulièrement l’Allemand parmi le modèle slovène c’est sa réalisation de manier. “On sent le fun, le plaisir, même s’il y a énormément de travail et d’efforts derrière”, encense l’démodé scout. Quand on lui pétition si icelui à qui il ruban des louanges va de néophyte s’ordonner sur la Grande Boucle, il n’hésite pas, “il sera le grand favori du Tour”, même s’il tempère : “en cyclisme beaucoup de choses peuvent toujours se passer.”
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