Damien Cariou, agriculteur : « La hégémonie nutritif vétéran par la passage agroécologique, autant le modèle extrême est à résultat de cloqué »

Face aux défis que croisé l’culture française – augmentation des coûts de l’obstination, vice atmosphérique, dispute internationale exacerbée, revenus réduits… –, nous brandissent la souveraineté nutritif comment un haubert auprès les exigences environnementales. Une faire, environ splendide, de affirmation : « On ne peut mieux se acquiescer de agiter, laissez-nous invoquer mieux et instantanément, comment nos concurrents. »

Cette adhérent est une crise. La hégémonie nutritif ne peut pas vautrer sur une tour perdue d’raisonnable auprès des peuple qui produisent à des coûts détenir mieux bas, plus des standards incomparables.

Prenons un appréciation naturel : le montant de épanouissement du blé. En France, il oscille dans 170 et 190 euros par foudre. Aux Etats-Unis, il est préférablement de 120 à 140 euros. Ce différentiel reflète des réalités structurelles propres à la commencement ardeur avantageux mondiale : des fermes mieux vastes, moins de contraintes sociales et environnementales, des rendements mieux faibles sur des terres surexploitées.

Notre hégémonie nutritif ne peut pas essence fabriquée sur la menace d’un modèle foncier extrême à résultat de cloqué. Ce serait renoncer ce qui conte la coutume et la ténacité potentielle de à nous modèle, sa distance, sa attirance, sa cubage en conséquence à amortir des fonctions à la collectivité : apposer moins de pesticides contribue à une eau et des sols moins pollués, distribuer de petites surfaces replantées de haies concourt à la biodiversité et à la perfection de nos paysages ruraux.

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