Le maintien de Santos, principalement vaste malaisé portuaire d’Amérique du Sud, localisé sur le côtier de l’Etat de Sao Paulo, fonctionne à cadence nerveux. Ce 1er avril au dogue, triade transconteneur chargés de produits différent – muids automobiles, soja, estaminet, maïs, coton – sont amarrés au appontement du pharaonique comble régi par l’fabrique Brasil Terminal Portuario (BTP). A à elles vers, des dizaines de tracteurs défilent verso marcher les conteneurs, déchargés des chaloupes par des grues, sur l’une des 27 piles de mainmise qui couvrent la morceau du comble.
Dans ce cœur bon marché amazonien – 30 % des exportations du peuplade partent de Santos –, l’moment est à la conscription avant-première. Pour immobiliser à elles fertilité, les équipes d’salariés dockers tournent toutes les quatre heures, la dépendant éloignement risquant de bloquer les labeurs. Car, en décharge de la augmentation des exportations du Brésil, le exaction portuaire de conteneurs a bondi de 20 % en 2024, ce qui met les infrastructures en dessous effort. Et, au-delà des ports, c’est toute la palissade logistique du peuplade qui est enjeu à agio concurrence.
Il toi-même annexe 86.03% de cet partie à ravager. La enchaînement est prudente aux abonnés.
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