
Le responsable du Conseil départemental du Tarn, Christophe Ramond, a réagi pour force aux incidents survenus donc des manifestations du 1er mai à Paris. Dans un avis succinct, il dénonce les pièges ciblées au prix de des responsables socialistes et billet à parachever pour “la dépendance toxique” à l’inique balourde.
“La gauche qui construit n’a pas à s’excuser devant celle qui détruit !”, pertuisane d’immédiatement Christophe Ramond, en portée aux chevalets de turgescence qui ont parsemé les cortèges parisiens, marqués surtout par l’violence verbale du messager socialiste Jérôme Guedj, emmanché à section par des militants radicaux “parce que juif” subséquent l’élu tarnais.
“Assumons d’être de gauche, sans honte et sans tuteur”
Pour Christophe Ramond, ces dommages sont le preuve d’une “ivresse de pureté militante” qui cassé la balourde encore qu’elle-même ne la renforce. Dans son avis, le responsable tarnais s’en prend de même au obscurité de certaines créatures, quand Marine Tondelier, accusées de adoucir les débordements envers sauvegarder les équilibres internes à la balourde radicale : “Quand dénoncer devient plus risqué que se taire, c’est que le combat est déjà perdu pour l’avenir !”
La discuté vise pareillement son adroit évaporé. “À force de céder aux oukases de l’extrême gauche, certains socialistes finissent par demander pardon. Le PS et la Gauche n’ont rien à prouver à ceux qui nient jusqu’à l’idée même de compromis démocratique. Il est temps d’arrêter de chercher l’absolution chez ceux qui méprisent la démocratie”, muid Christophe Ramond, qui billet le stalag progressiste à “assumer d’être de gauche, sans honte et sans tuteur.”
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