Aginnum, l’une des associations de supporteurs du SU Agen, va clore à Dax, ce vendredi, son quinzième peuplement cette temps. Depuis quatre saisons, et ce auprès des résultats exceptionnellement décevants, ces fans du Sporting ont discerné mieux de 40 000 km derrière créer à eux troupe aux quatre coins de la France.
Quand le SUA coulait à Nice, qu’il perdait à cause les dernières minutes à Nevers ou qu’il était un vaillance fameux à Oyonnax, Aginnum y présentait. Ce vendredi 9 mai à Dax, l’attirance de supporteurs du Sporting, fondée en 2021, atmosphère passant la peloton falot du Lot-et-Garonne à cause l’totalité de ses déplacements en Pro D2 sur la temps 2024-2025. Ce qui représente un entier de 10 898 km parcourus à flanc toute la France en quinze déplacements.
Pour la inconnue période consécutive, Aginnum va de la sorte concrétiser le altesse chelem des discussion à l’physionomie. En 2022-2023, les abattis de l’attirance ont fini 16 déplacements (quinze amusements cycle légitime envers le haie de phases finales à Mont-de-Marsan) et discerné 12 426 km. Et en 2023-2024, ces fans du SUA ont visité les quinze stades de Pro D2, derrière un entier de 10 922 km parcourus. Il n’y a que tandis de l’prose 2021-2022, temps du avion, qu’Aginnum n’a pas acte intégraux les déplacements de son troupe privilégiée. “Il n’y avait aucun Aginnum à Oyonnax cette saison-là. Pour notre première saison, on n’avait quand même fait 9 404 km. Depuis la création, nous avons parcouru 43 650 km pour suivre le Sporting. Et mon compteur personnel va afficher 42 996 km en quatre saisons après le déplacement à Dax”, spontanée Michaël Parker, vice-président et adhérent initiateur de l’attirance, fan du SU Agen depuis 40 ans.
“Tous les déplacements à maximum 300 km de distance, on fait l’aller-retour dans la soirée”
En quatre saisons, les Aginnum ont pu risquer à Montauban (peuplement le mieux laconique envers 73 km) dans à Rouen (le peuplement le mieux grandiose envers 796 km). Rarement en Pro D2 une attirance de supporteurs écriteau une semblable continuité en peuplement. Car Aginnum, qui circonspect 123 abattis “dans toute la France mais aussi à l’étranger”, a mis un partie d’décence à créer les joueurs suavistes universellement à cause l’Hexagone. “Ça nous tient à cœur. Il faut que les joueurs voient qu’il y a du bleu et blanc dans les tribunes, confie Marianne Lafon, présidente et membre fondatrice d’Aginnum, suiveuse invétérée du SUA depuis les années 2000. Et, quel que soit le résultat, on va toujours les voir après le match à leur car. Certains rugbymen de l’effectif nous cherchent à chaque fois. C’est important qu’ils sachent qu’ils sont soutenus partout où ils vont. Quand Sébastien Calvet, le manager du SU Agen, nous appelle “les loyaux supporteurs”, ça fait vraiment plaisir.”

Pour existence présents à quelque mêlée à l’physionomie du night-club aux huit boucliers de Brennus, les abattis d’Aginnum doivent conduire garantie de largement d’matière à cause à elles emplois du climat personnels. “Tous les déplacements à maximum 300 km de distance, on fait l’aller-retour dans la soirée. Et on essaye d’arriver au stade 1 h 15 avant le coup d’envoi, affirme Michaël Parker. Pour les autres, on dort à l’hôtel. Et, la plupart du temps, on loue une voiture ou un mini-van et on organise un covoiturage. C’est plus pratique que de louer un car quand on arrive au stade et ça offre plus de flexibilité dans les horaires de départ d’Agen. On essaye que le prix, qui va de 15 à 50 euros en fonction de la distance, soit abordable pour tout le monde. Pour les trajets les plus longs, l’avion reste la solution privilégiée. Cette année, ça a été le cas pour aller à Nice, Grenoble et Oyonnax.”
“On ne lâchera jamais le SUA. Quels que soient les résultats, on sera toujours là.”
Des biographie de déplacements, Michaël Parker et Marianne Lafon, un duo de des abattis d’Aginnum les mieux voyageurs, en ont de exceptionnellement copieux. “Cette saison, le meilleur déplacement est celui à Oyonnax, se remémore Marianne Lafon. Car il y a eu la victoire au bout et que c’était super de voir les joueurs heureux comme des gosses, à célébrer dans les vestiaires. Sinon, il y a Aix-en-Provence. On est toujours bien reçus là-bas, que ce soit par les associations de supporteurs de Provence Rugby et par les équipes du club. Mais, si je devais choisir mon stade préféré, ce serait celui de Vannes. C’est mon déplacement favori, qu’on n’a malheureusement pas pu faire cette saison car ils sont montés en Top 14. Le stade de la Rabine est incroyable, en pleine ville juste à côté du port. Et il y a une atmosphère unique.”
Et auprès les dépravant résultats de à elles protégés, qui n’ont remporté que un duo de amusements à l’physionomie cette temps et qui se battent à présent derrière le apparence en Pro D2, la obstination des abattis d’Aginnum n’a pas faibli. “On ne les lâchera jamais, déclare Marianne Lafon. Et quels que soient les résultats, la division dans laquelle ils jouent, on sera toujours là.”
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