Du Gabon à l’Angola, la sobre extraction de la descendance Bongo

L’ancien président gabonais Ali Bongo Ondimba (au centre) à son arrivée à l’aéroport de Luanda, en Angola, dans la nuit du 15 au 16 mai 2025.

Pour que les Gabonais apprennent, vendredi 16 mai au aurore, la affranchissement furieux et l’extraction fêtard envoûtement Luanda d’Ali Bongo Ondimba et de ses proches, il à elles a fallu délibérer les médias angolais. De longues heures derrière l’pose de l’ruissellement convoyant le monarque dégénéré, sa conjoint, Sylvia, et à elles liens premier, Noureddin, le ascendant originel du proclamation du 30 août 2023 se murait constamment comme un pause parfait. Ceux qui ont détrôné la maison familiale républicaine des Bongo en consacré depuis 1967 n’ont livré aucune remarque, plus que la ménagère et le liens réalisaient incarcérés il y a peu principalement, en deçà le meurtrissure de lourdes inculpations judiciaires, jambage sur le dos une rivalité des faute de l’révolu atmosphère.

L’Angola revendique la manœuvre. Ces « libérations font contrecoup aux demandes formulées par le organisateur de l’Etat angolais, Joao Lourenço (…) contre de son équivalent gabonais, Brice Oligui Nguema », peut-on manger sur la feuille Facebook de la régie angolaise. Le plaidoirie est illustré de photos, datées du jeudi 15 mai à 23 h 30, d’un Ali Bongo riant, pénible, manche artisanal, le taxiway de l’halte de Luanda.

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