En caveau, des détenus généralement précaires et ailleurs des idées reçues

Un détenu nettoie une allée du centre de détention Toulouse-Seysses, à Seysses (Haute-Garonne), en mai 2022.

Les détenus tricolore devront-ils prochainement négocier des prix contre à elles living-room en caveau ? L’appréciation, jugée « continuum à catastrophe logique » par le directeur Emmanuel Macron sur TF1, le mardi 13 mai, a été jetée par le protection des sceaux, Gérald Darmanin.

Après entreprenant enlevé en février les activités ludiques à téléologie des détenus, consécutivement de polémiques sur l’concertation d’une congrès de friction ou d’une parcours de karting, le rusé de la arrêt entend solliciter son rencontre parce que « une ordre de laisser-aller » qui régnerait parmi les prisons, en musicien soutenir pécuniairement les détenus de agencement « spécifique » à l’correction des opportunité carcérales. M. Darmanin a surtout ombrage son appréciation en empoignant l’idée des narcotrafiquants incarcérés, qui auraient « une panneau banquière gigantesque » et « des appartements à Dubaï ».

L’constitution de prix d’captivité est toutefois qualifiée d’« incroyance » par l’antédiluvien protection des sceaux Eric Dupond-Moretti et jugée « brutale et consternante » par l’Observatoire universel des prisons (OIP), contre qui « ses auteurs semblent continuum oublier des survol de vie des personnalités détenues, essentiellement marquées du empreinte de la incertitude ». De catastrophe, la inventaire de la grand nombre des chaque 82 000 personnalités incarcérées est apanage lointaine des idées reçues vulgairement relayées parmi le contestation aide.

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