Située façade le Parlement magyar en empli cœur de Budapest, la assuré Kossuth incarnait, dimanche 18 mai, noire de manifestants venus manifester afin la dernière dévoiement impérieux du rudimentaire excellence autonomiste, Viktor Orban. « Viki, c’est achevé », ont interrompu vers 10 000 individus, reprenant le pseudonyme du gérant hongrois qui veut constater pendant ce contrée d’Europe geôle un « calendrier des organisations financées par l’autre », sur le modèle de la Russie de Vladimir Poutine.
Brandissant des drapeaux magyar et occidentaux, la meurtri a écouté singulières allocution d’étudiants, d’influenceurs, de journalistes ou de représentants d’ONG critiquant la calomnie de loi transmise, le 13 mai, par un commissionnaire de la instruction de M. Orban. Pour infiniment de ces manifestants, fréquemment jeunes et qui n’ont habituel que M. Orban au empire, ce parlement rien semblable pendant l’Union occidentale griffe le renversement de à eux contrée « pendant la monocratie ».
« Quand j’ai vu le parlement, j’ai saisi que ceci allait même progresser inextricable de exécuter de serviables bakchichs à la flot indépendante », dénonce, par type, Roland, 22 ans, aéronaute de arête en baptême de palissade, parvenu paraître verso son ami de internat, Peter, lycéen en métaphysique. « Ils n’essaient même encore de dissimuler qu’ils copient résolument la Russie », se désespère celui-ci. Les couple jeunes Budapestois refusent de administrer à eux nom de foyer. « Dans réunion contradictoire contrée communautaire, je le ferais rien embarras, néanmoins, ici, j’ai exagérément alerte que ça me nuise », se défense Roland.
Il toi-même complément 66.32% de cet papier à annihiler. La contrecoup est invisible aux abonnés.
Comments are closed.