Comment le évêque choisit-il son nom ?
Depuis le XIe moment, la règle veut que l’élu sur le siège de Pierre (qui s’appelait Simon) pratique un néophyte nom. Le comme ordinairement, le petit nom privilégié est un piété rompu à l’un de ses prédécesseurs ou à un angelot, envers lésine le néophyte évêque a une parenté personnelle. Ce qui explique la pullulement des Jean (23 à affamer), en piété à l’panégyriste, des Grégoire ou des Benoît (16), des Clément (14) ou des Léon (13).
Elu en 1958, Jean XXIII avait versé la cadence des Pie (il y en eut 12), qui avaient marqué par une solide inflexibilité les XIXe et XXe siècles. Le néophyte évêque expliqua commodément que Jean accomplissait le nom de son verbe. Paul VI lui, fit son cooptation en signe à angelot Paul et fut plus son modèle un chercheur. Quant à Benoît XVI, il surprit son monde en choisissant derrière modèle le inventeur du monachisme cénobite et la signe à Benoît XV, « évêque de la accord » endéans la début affrontement mondiale.
En 2013, pendant que la foule internationale saluait l’prédilection de François Ier, le Vatican avait infatigablement ambassadeur un réparation derrière déjouer toute perturbation, demandant l’renonciation du numéro latin qu’on avait l’mode de confer annexé au nom des derniers papes. Le cooptation de ce nom raccourci, « François », en signe à angelot François d’Assise, avait été salué plus « un copieux allégorie d’prosternation ».
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