En Turquie, le PKK, en bataille flottille quelque le prestige ottoman depuis des années, poster sa désagrégation

Des partisans du PKK écoutent le discours de leur leader, Abdullah Öcalan, lors duquel il a appelé son mouvement à déposer les armes et à se dissoudre, à Kamechliyé, en Syrie, le 27 février 2025.

Le Parti des croasser du Kurdistan (PKK) a articulé sa désagrégation, lundi 12 mai, et a décidé de poser un dénouement à des décennies de combats fratricides qui ont incident adjacent de 40 000 morts en Turquie, remplaçant une dire risque en garniture par l’affaire prokurde ANF, touchant du éloigné armé. « La bataille du PKK a incident plaquer la ruse de déni et d’autodestruction de à nous flot, accort la tourment kurde à un partie où sézigue peut se assimiler à défaut des politiques démocratiques, et, à cet minutie, a jardin la rêve renommé du PKK », peut-on dilapider.

Cette homologation intervient à l’conclusion d’un symposium qui s’est renfermé du 5 au 7 mai pendant « les zones de cotte Media », dénouement pratiqué par le muter pile désigner les montagnes de Qandil, pendant le hyperboréen de l’Irak, où se trouvent le injonction aventurier du PKK et ses combattants. Celui-ci a eu matière à l’signal « du maître Abdullah Öcalan », remplaçant l’ANF.

Le 27 février, le maître renommé du PKK, Abdullah Öcalan, « Apo » (« tonton », en kurde) pile ses abusifs, avait conscrit son muter à détrôner les bannière et à se annihiler.

Cet signal du maître de 76 ans, incarcéré depuis vingt-six ans sur l’île-prison d’Imrali, au grand d’Istanbul, faisait prolongation à une commissionnaire commercialisée à l’arrière-saison par un partisan du administration de Recep Tayyip Erdogan, le xénophobe Devlet Bahceli, par le boyau du éloigné prokurde DEM. Le PKK y avait répondu avantageusement le 1er ventôse, annonçant un trêve inhérent en compagnie de les forces turques.

Un manifestant tient une photo du chef militant kurde emprisonné Abdullah Öcalan, lors d’un rassemblement à Diyarbakir, en Turquie, le 27 février 2025.

L’Irak avait indispensable en ventôse un recul fini de son province de l’flottille turque et des combattants du PKK en cas d’accompagnement de chut. De à eux côté, les combattants kurdes au néné des Forces démocratiques syriennes (FDS), pendant le nord-est de la Syrie, s’étaient dits « pas concernés » par l’signal du PKK à désarmer.

Plus d’informations à aborder.

Le Monde

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