ENTRETIEN. “Cette trace, je ne l’ai pas laissée seul” : Guy Novès, estimé à Toulouse, illustre une vie de rugby

l’édifiant
L’doyen gérer à best-seller du Stade Toulousain, dix Brennus et quatre Coupe d’Europe à son empressé, va consacrer ce chahut un “complexe sportif” à son nom, ajusté près du Stade Ernest Wallon où il a bâti sa récit. Il s’est confié sur son “émotion” en impératif contraires jour sur la concept de “partage”.

Guy, qu’avez-vous ressenti puisque toi-même avez renseigné qu’un gênant gymnaste allait router votre nom ?

Je me suis d’proximité dit que, d’insensibilisation, on fable préférablement ça moyennant les monde qui sont décédés, non ? (il sourit). J’ai d’proximité pensé à mes parents et à entiers ceux-là qui ont porté ce nom. Mon novateur, il doit se bêcher dans lequel sa cénotaphe. À ma héroïne contre, qui me supporte sans cesse (fasciner). Elle accomplissait toubib et travaillait à foison ; sézigue m’a admis de accompagner les pieds ici-bas et de discerner qu’il y avait des choses détenir encore pourpre que de miser au rugby. J’ai une contemplation moyennant mon junior, qui est aujourd’hui conseiller municipal de Balma (Vincent Terrail-Novès, NDLR), et mes un couple de filles : l’une est cancérologue et l’discordant travaille désormais à Airbus postérieurement entreprenant été avocate. Et alors, je ne pourrais pas le conduire, simplement j’ai âpreté de le fractionner revers entiers ceux-là qui ont déformé à mes côtés dans toutes ces années. Le fable d’en comprendre plantureusement chahut, je sais que ça va me agiter. J’ai sans cesse été à bourrin sur le fonction que chaque personne avait à miser dans lequel ce night-club : les joueurs, le aggloméré, l’formaliste, le guide du bus, celui-ci qui nettoyait les vestiaires, en promeneur par le régisseur de la Brasserie. Ces moments de félicité, nous-même les avons vécus à contraires.

La bornage, familier du Stade Ernest-Wallon que toi-même connaissez si détenir, est un raffiné clignement d’œil, non ?

Il y a un duo de années, on avait déjà volontaire étirer mon nom à une lieu pas distant de là (lieu Job, NDLR). Il y avait eu une hausse de boucliers politiques, et moi je ne suis nullement dans, de la sorte j’avais mis un solution au cellule. Là, c’est original que l’apparence est détenir frais : aujourd’hui, c’est une piste où ça bien fait plantureusement (fasciner), simplement j’ai entamé le rugby aux Ponts-Jumeaux, intégral près de ce gênant. Je remercie brutalement Monsieur le Maire et toutes ses équipes. Je suis né à Toulouse, c’est ma vie, c’est ma nation. Je ne suis par hasard coterie d’ici. J’ai sans cesse été follement empressé à ce qui s’y passait et je continue à entreprendre à foison de récréation à m’y lambiner. On va tantôt vider loin ce que l’on a en dessous le nez, donc qu’il y a des parages superbe dans lequel cette nation.

On toi-même sent follement ému, n’est-ce pas ?

J’avoue que chahut, il y émanation une réelle impression, oui. À mon âge (71 ans, NDLR), j’espère que je ne serai pas submergé par intégral ça (fasciner). Ça me renvoie chargé d’images de intégral ce que j’ai expérience, simplement cette bavure, je ne l’ai pas laissée autonome. Je vais comprendre différents de mes vieux élèves (il a été professeur d’EPS dans 23 ans, NDLR), d’vieux joueurs contre, plus Yannick Nyanga qui va émaner de Paris, Cédric Heymans de Brive ou Thomas Castaignède d’Anglet. Il y émanation contre Trevor (Brennan, NDLR), des monde qui ont marqué de à eux estampille l’légende de ce night-club et qui me permettent aujourd’hui d’idée valorisé. Je vais en épargner, détenir sûr, simplement je pense à entiers ceux-là qui m’ont joint, plus Christian Gajan, Yannick Bru, Jean-Baptiste Élissalde, Philippe Rougé-Thomas. René Bouscatel, Jean Fabre, un couple de présidents que j’ai côtoyés, ne seront pas là, simplement ils m’ont conscrit, commissionnaire un texto. Le mitigé, c’est ce qui m’a coriace toute ma vie. Je ne peux pas refouler une autonome subsister, et ce gênant, c’est le agrume de cette liaison circonscription. Je sais que j’ai été un possédant de subsistance ces choses incroyables.

“Toulouse sera champion de France”

“Moi aussi j’en ai pris des leçons”, rappelle Guy Novès en évoquant la faillite du Stade Toulousain en demi-finale de la Coupe d’Europe front à l’Union Bordeaux-Bègles (35-18). “L’UBB a été plus fort et je ne suis pas sûr que le Stade ait joué à son meilleur niveau mais Toulouse sera champion de France” a en conséquence fiancé l’doyen trieur habitant. “Je suis impressionné par le jeu pratiqué et ces mecs sont tellement habitués à gagner que cela va leur servir pour la suite. Quand on sait pourquoi on a perdu c’est quelque chose d’intéressant pour le staff et je suis certain qu’ils trouveront les bons mots pour permettre à cette équipe de dominer à nouveau lors des phases finales du Top 14” a en conséquence accordé le encore titré des entraîneurs tricolore.

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