
Quarts de finalistes l’an passé, finalistes cette étape, les Vipers avancent les pions d’une Afrique en Division 1 simplement le gymnaste ne suffit pas ; se placé itou la complication des infrastructures et du aggravation monétaire.
Marek Michalovic a coupé le son boucle nombreux jours fiction de avaler la dénouement de Division 2 perdue en trio manches frontispice à Lyon. Deux infortune pendant les Gones (5-0, 5-1) et le terminal de la roman à Végapolis (0-2). Il n’y a pas eu buste même si les Vipers n’ont pas à griller de à elles itinéraire, apanage à contre-courant. “C’était une belle saison, on a gagné tous nos matches de play-off jusqu’en finale. Je suis très fier parce que personne ne nous voyait à ce niveau-là au début ; on a gagné sept de nos huit matches en début de saison et tout de suite, ça a “matché” même s’il y a eu un coup de mou en décembre – janvier avec quelques blessés…”
Attester la fortune
C’est ce loupé de hauteur de pouf que Montpellier a itou dû guide sur les phases finales. “L’équipe a montré qu’elle était compétitive. Avec un état d’esprit. Il y avait un groupe et pas des individualités, en phase avec le coach et ça se voyait. Il nous a manqué la quantité, dès qu’on avait deux ou trois blessés, on l’a ressenti. Et pour la finale, avec la succession de matches, on a senti la fatigue. On a fait ce choix de monter une équipe comme ça, mais ça a été une jolie saison. L’objectif maintenant est de construire pour la prochaine, répéter la performance et tenter d’aller au bout”. Pour ceci, les Vipers misent sur la exactitude. “J’ai attaqué des recrutements, des prolongations de contrat et on a envie de garder au moins 80 % de l’équipe ce qui est un défi dans le hockey. On a construit une équipe jeune, 23 ans de moyenne d’âge, il y a du potentiel, humainement, ce sont de belles personnes.”
À guichets fermés
“Depuis un an et demi, on joue à guichets fermés (1 600 places). On doit encore évoluer mais on doit aussi se poser les questions du hockey à Montpellier, avec la Ville et Métropole de Montpellier, comment le faire grandir ? ajoute Marek Michalovic. Vert Marine a montré depuis vingt ans que la patinoire est toujours nickel, elle est remplie, ça travaille bien… Les résultats sportifs, c’est une chose, ce qu’il y a autour, ce qui te rend attractif ce que tu proposes aux partenaires, c’en est une autre. Heureusement, Olivier Nicollin est derrière nous, qu’il y a des gens comme ça, passionnés, qui nous soutiennent. Au début, j’ai été déçu de notre défaite, mais Lyon le mérite et ils sont davantage prêts à affronter la D1 que nous, financièrement, structurellement.” Le gestionnaire des Vipers prend envers esquisse les déplacements à Lyon endroit alors de 3 500 commun, à Annecy, adversaire à la source, revers des infrastructures inclusif chambre de muscu, loges VIP, agences… Ça peut décerner des idées !
Comments are closed.