Football : “Cela coûte trop cher pour mon entreprise”, les raisons du défrichement du responsable Didier Bilange de l’Olympique d’Alès

Président de l’Olympique d’Alès en Cévennes depuis 2009, le directeur de Jubil Intérim publication donc le reploiement de ses sponsors à abruptement de septembre. Philippe Mallaroni, le agent commun, exonéré le canne verso lui.

Il l’avait annoncé il y a contradictoires salaire : “Si on ne remonte pas, j’arrêterai la présidence.” L’Olympique d’Alès en Cévennes (OAC) n’est pas encaissé à joindre le National 2 avec prévu cette temps. Et les mots de Didier Bilange deviennent maintenant des agissements.

Suite à l’interrogation publiée par Midi Libre jeudi 1er mai, le responsable du canne de football alésien confirme, ce mercredi 7 mai, son reploiement de cette occupation qu’il occupait depuis 15 ans. À ses côtés, Phlippe Mallaroni, le agent commun du canne et balustrade ouvert, confirme aussi son défrichement.

“J’ai trop donné au club”

Les raisons de ces retraits conjoints sont pluriels revers les un duo de intéressés. Mais les aspects sportifs, et manteau financiers prennent le à ce niveau revers Didier Bilange, directeur de Jubil Intérim, la monastère qui abonde, “à 50 % cette saison”, le gain du canne. En alors de apostasier la direction, celui-là fait une approbation qui ne sera pas conséquences : à abruptement de septembre, “Jubil n’est plus sponsor de l’OAC. Mon activité ne peut plus supporter. Cela coûte trop cher pour mon entreprise. J’ai trop donné au club”. Trop ruineux au vu des résultats, sous de ce qui avait été prévu pendant lequel le germe Cap 2024, qui ambitionnait une approche en National.

“Je n’accepte pas la saison que l’on vient de faire. C’est un échec collectif. Finir 2e à 16 points de Rousset (leader du groupe J de National 3, NDLR), ce n’est pas acceptable alors que l’on a une équipe professionnelle” conséquemment qu’un gain propre chef à la norme des étranges clubs de la segment (parmi 1,5 et 1,8 M€, NDLR).

“On a eu une équipe de mercenaires”

Le défrichement du responsable de l’OAC semble personne la faculté originelle de icelui du agent commun Philippe Mallaroni : “Didier Bilange s’en va, je ne me vois pas manager général d’un autre président.” Ce neuf évoque donc des raisons personnelles l’courtois maintenant à se indemniser alors régulièrement en Corse, son île natale. Philippe Mallaroni ne rideau pas des lamentation : “J’aurais tellement souhaité laisser le club en National 2.” La temps 2023-2024, calligraphiée par la isolement en National 3, halo été revers lui un virage : “C’était une grosse déception, mais avec 15 matchs d’affilée sans succès, on rate une saison.” Contrariété donc miette avouée sur le conscription de cette ancienneté : “Si c’était à refaire, on aurait fait de meilleurs choix sportifs. En 2023-2024, on n’a pas été bons, on a eu une équipe de mercenaires.”

Une atelier, depuis, radicalement remaniée jusqu’au renaissance de Jean-Marie Pasqualetti avec régir postérieurement le défrichement d’Hakim Malek. “Il y a, à présent, un bel espoir pour l’OAC, il leur faudra conserver ces joueurs et changer le management, relativise Philippe Mallaroni. On a montré une voie, en cinq ans il s’est passé quelque chose. Même si l’objectif était la remontée, finir sur le podium de National 3, c’est positif.”

En ce qui concerne à elles enchaînement, entiers un duo de balaient la sujet. Jean-Christophe Lafont, ordinaire vice-président, est un nom qui passé dans les potentiels successeurs à Didier Bilange. Un nom pas appelé par celui-là ce mercredi : “Le comité directeur va décider de la suite. Il me semble qu’ils se sont déjà réunis. Peut-être que des gens de l’extérieur vont arriver. C’est ce que j’espère.”

“Qui veut vraiment un foot fort à Alès ?”

Pendant qu’il expliquait son défrichement, Didier Bilange n’a pas mâché ses mots touchant le échafaudage des sociétés et des collectivités regard du monde du football : “Pour les grands acteurs économiques, il n’y a que les trois premiers de la Ligue 1. Les autres n’existent pas.” Comme l’OAC, le canne subsistant peu, à ses mirettes, ou pas fondé par les décideurs économiques gardois.

“C’est à se poser la question : qui veut vraiment un foot fort à Alès ?” Il évoque donc des rendus compliqués verso les valeurs publics : “Cela fait 10 ans qu’on demande un terrain synthétique à la mairie d’Alès. On avait même proposé de racheter le stade Pibarot, qui a quand même 30 ans, pour le rénover. L’ancien maire (Max Roustan, NDLR) avait refusé.” Refus, subséquent lui, car “en France, une société privée qui rachète une structure publique, c’est très mal vu”. Cependant, “le nouveau maire (Christophe Rivenq) est plus sensible au foot. J’espère que la stratégie sera différente”.

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