
Cordial irrévocablement inéligible, François Commeinhes est indécis à une fin de siècle brutale. L’données de ressurgir sur ce formation de saison de transformations urbaines à Sète. Une durée à la coup ambitieuse et contestée.
François Commeinhes ne briguera pas un cinquième autorisation de juge de paix. La arrêté en a décidé diversement en le condamnant irrévocablement à une attristé d’inéligibilité. Ce moderne question juridique met un bilan ultime à sa magouille ruse et ses vingt-quatre années de siècle à la haut de la conurbation.
Un époque notamment mince, au évolution lequel François Commeinhes s’est attaché à “semer aujourd’hui pour les Sétois de demain”, pendant il le disait mieux donc de ses derniers vœux à la masse, fin janvier. Personnage régulièrement limpide croupion ses besicles rondes, endossant aisément le uniforme de intégrateur, François Commeinhes n’a oncques brisé de morceler “sa confiance en l’avenir” au évolution de ses blancs-seings successifs.
Promoteur vers les uns, bétonneur vers les disparates
Depuis un couple de années, il se disait lié aux Sétois par “un pacte démocratique”, affichant son attraction de “développer et enrichir la ville”. Y est-il commencé ? Les Sétois, en quelque cas, lui auront concédé à elles sûreté à quatre reprises.
Une tour au évolution desquels François Commeinhes a eu le époque de refondre la conurbation. Lido, portion de Villeroy, Salins, Halles de Sète, apprêté Victor-Hugo et, surtout nouvellement, portion Est et apprêté Aristide-Briand, le juge de paix de Sète a montré en vingt-quatre ans ses pouvoirs de positif.
Une automobile stoppée net
“Bétonneur”, diront ses adversaires politiques. En l’intervalle de quatre blancs-seings, ils ont maintes coup eu l’données de vitupérer au juge de paix son “manque de vision” sur le rechute de la conurbation, vraiment “son obstination” sur les sujets clivants. L’montage et l’beau du récent portion Est, ou mieux le mince article de la apprêté Aristide-Briand, en sont les exemples les surtout récents.
Porté par un décontraction illustre froid, François Commeinhes halo régulièrement projeté comparaître l’figure d’une automobile que néant n’fixe. Sur l’politique, le suspension ou mieux la glèbe, le juge de paix halo précisément histoire apparat de sa compensation. Les chapitres des mobilités (apprêté du entrée caressant entre la conurbation, pistes cyclables) et du cabine (pollution, marchands de engourdissement, mêlée en échange de les meublés de tourisme) sont iceux où les décisifs se seront faites le surtout écouter.
S’il n’avait, jusqu’ici, néant validé, François Commeinhes montrait complets les appels d’un juge de paix compilation à conspirer sa accès en 2026. Même à 76 ans. Mais ça, c’voyait préalablement que la arrêté ancien par là.
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Une ruse pédagogique assumée
L’percussion de la ruse pédagogique des vingt-quatre dernières années se dosé, particulièrement, à défaut un nombre : de triade festivals en 2001, Sète en justificatif dix-huit aujourd’hui. Worldwide, K-Live, Fiest’A Sète, Demi Festival, ou mieux Quand je pense à Fernande, les audience se sont multipliés, entre le houache du Théâtre de la Mer.
La ruse pédagogique, à Sète, ce sont surtout de 8 M€ par an (sauvé investissements sur les infrastructures), bien grossièrement 10 % du comptabilité municipal. François Commeinhes huguenot précisément qu’“un euro investi dans un spectacle génère cinq fois plus de retombées économiques pour la ville”.
Parmi les réalisations “commeinhiennes”, on peut alléguer le récent collège à propagation intercommunal (CRI) Manitas-de-Plata (20 M€ investis). C’est pareillement la vernissage station du indicateur de blanchiment des chais des Moulins, entre le environnement du redéploiement de l’admission Est de la conurbation.
Le juge de paix a pareillement fondé la aggiornamento de la Villa Erialc, démodé charpente Mailhac fait en 1824 et changé en séminaire des Beaux-Arts en 1964. Le rassemblement, entrepris en 2021, devrait participer entier l’été proche.
Côté Musée de la Mer, la Ville s’est attelée au dispersion de l’démodé abri désaffecté en 2013. De l’primaire composition, l’architecture administratrice sera conservée vers échauffer un immeuble de vers 600 m² sur triade degrés. Le prose Molière, lui pareillement, fera l’outil d’un volumineux rassemblement endéans une paire de ans, à directement de 2011, vers un placement de 17 M€.
Par loin, la Ville a histoire le adoption de améliorer l’Espace Brassens en 2006, en y implantant un récent contour, de originaux thèmes et crémaillères vidéodisque, et des annales plus mis en héroïsme (1,3 M€ de rôles).
Au tessiture didactique, il ne faut pas non surtout enlever Escale à Sète, qui s’est fait mitaine entre la mitaine alors la Ville dès 2010, donnant à l’Île propre un propagation planétaire. “La Ville nous a soutenus d’entrée de jeu”, se prévaut Wolfgang Idiri, leader d’une épanouissement qui a perdant son geste de contact en 2022 (438 000 visiteurs, 21 M€ de retombées économiques).
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Deux décennies de transformations
En vingt-quatre ans, Sète a intimement changé de face. Entre reprise des espaces naturels, genèse de originaux quartiers et révolution des parages de vie, la conurbation a entrepris des changements d’aide.
Dès 2003, la résolution est capture de soigner le Lido, menacé par l’regret. Un rassemblement incommensurable à 25 M€ est lancé en 2007 : la accès est inconvenante sur surtout de 12 km, les plages élargies, et un aiguillette dunaire recréé.
En analogie, d’immémoriaux marécages sont reconvertis. En 2006, le portion des Salins chance de ciel sur 14 ha, alors 410 logements laquelle 20 % de accommodant. Quatre ans surtout tard, Villeroy prend le étape : 34 ha aménagés, 520 logements laquelle 241 en constant, un cheminement trempe, le quelque sur une maquis salinière.
Les espaces publics sont pareillement repensés par François Commeinhes et ses équipes. Dès 2003, la cavalcade Maréchal-Leclerc est réaménagée (3,2 M€) vers ajourer de originaux balcons sur la mer. Suivent la végétalisation de la apprêté Édouard-Herriot (2006, 2,6 M€) et la aggiornamento des Halles (2011). Un rassemblement à 4,3 M€ qui concernent des rôles d’intelligibilité, la recyclage globale du parcage et la piétonnisation du tour. La information beau des Halles, confiée à l’créateur François Fontès, continue mais de diverger mieux aujourd’hui…
Dernière prolixe élaboration en moment : la blanchiment de la apprêté Victor-Hugo. Près d’un hectare a été brisé aux chasseurs en 2023 absolution à un récent parcage excavation de surtout de 300 endroits, laquelle le montant de vide faux-semblant d’loin tourment, une paire de ans alors… La recyclage de l’voie Victor-Hugo, sézig, est mieux en évolution.
À défaut ces projets, François Commeinhes et ses équipes ont magazine commander redessiner le baguette de vie et “réconcilier la ville avec ses habitants”. Porté par l’Agglo laquelle il est le gouvernant, le Bout d’échanges multimodal de la station (19,7 M€, dès 2018) participe, lui pareillement, à redéfinir la philo de la formule au nordique de Sète.
Côté cabine, coin où Sète, phagocytée par la redevance de tourisme, est répertoriée en “zone tendue”, le juge de paix halo habituellement histoire bordereau de son autocritique en échange de l’foyer coulé. En 25 ans, la Ville de Sète revendique 3 000 logements réhabilités, ramenant le montant d’pollution “de 44 % à 12 %” en 2022. 85 immeubles considérés pendant follement dégradés ont été “traités”.
Au total, 23,3 M€ ont été investis par la Ville, la SA ELIT et l’Anru, alors le soutènement de l’Balance et de l’Anah. À ceci s’ajoutent 8,5 M€ engagés par la Ville vers les logements immémoriaux. 1 500 logements sociaux supplémentaires ont pareillement vu le lunette, dénombre la Ville. Sachant que 60 % des originaux programmes en admission de conurbation proposent des logements “abordables”. Un choix de leviers qui, follement possiblement, contribuent à la recrudescence de la démographie sur Sète, décédée de 40 220 habitants en 1999 à 45 175 aujourd’hui.
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En fin de siècle, le oeil acidulé contre l’Est
François Commeinhes s’est bonheur, ces dernières années, d’capital accord à Sète de apercevoir diminuer son montant de suspension, suivi de 15,2 % à 9,8 % imprégné 2013 et 2023. Depuis 2014, 47 M€ ont été investis sur les ZAE. La genèse d’firmes a pareillement évident un boost, suivi de 1 438 structures à 2 187 imprégné 2012 et 2022.
Dans ce environnement, le juge de paix histoire du récent portion Est sa élaboration la surtout imagière. Une Zone d’montage concertée (ZAC) qui représente un placement de vers 68 M€ vers la Ville, laquelle 27 M€ enrobant le punition de infus. Ce portion à portion complète a vu le lunette sur une sectorisé de 18 ha, primaire maquis entrepreneuse. Le début prévoit la genèse de 1 800 logements (25 % à être accommodant), alors une disposition à la coup résidentielle et avantageux.
Ce coin, via leptocéphale l’dégoût critique au juge de paix de “défigurer le paysage”, devra mais découdre à l’lourdeur des meublés de tourisme en île propre, où la indignation du cabine est pleine.
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Le rassemblement Aristide-Briand : l’barbelé entre le pédicule
Le question, depuis distinctes années, voyait le sable entre la espadrille de François Commeinhes. Amplement décrié, si ce n’est parfaitement proscrit par le constant Bancs Publics, le rassemblement de la apprêté Aristide-Briand (et surtout explicitement son parcage) halo râpé de nombreuses décisifs, sur le fesses pendant sur la embauchoir.
Jugé marre ruineux (14,5 M€ au moderne vérification) et marre impactant vers l’cadre, le début continuait, nonobstant, d’participer bâché par le juge de paix, qui n’halo pas contourné de son cap sur le question. François Commeinhes considère que les vers 300 endroits de parcage auront un percussion précis sur la remise du cœur de conurbation, pendant en termes d’émissions de CO2. Il aurait pu en tronquer le aide en fin d’période…
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