
Toutes triade natives de Nîmes, Léa, Élisa et Juliette Biscuit passeront le vacance à l’Accor Arena de Paris Bercy : quelques joueront la conclusion fédérale verso l’Usam, la inconnu la conclusion départementale verso un hétéroclite association gardois, Marguerittes. Fou !
Cette coup, oncle Raoul de Tarascon n’atmosphère pas le cooptation : il va surfiler à Paris. “Il n’a quasiment jamais vu de handball mais là, il vient !”, affirment ses triade nièces. Pour ravitaillement un événement hors normes : ce vacance, les triade sœurs Biscuit, Léa (30 ans), Élisa (27) et Juliette (23) disputeront une conclusion de Coupe de France à l’Accor Arena (ex-Bercy).
Deux finales hétérogènes, car il y a des Coupes de France de disparates paliers au balle à la main. Ce sabbat, pour la affluence discrète aux clubs de bipartition départementale, la cadette affrontera Villeparisis (Seine-et-Marne) verso le CS Marguerittes (faubourg de Nîmes). Et dimanche, l’première-née et la benjamine, coéquipières, rencontreront La Motte-Servolex (Savoie) verso l’Usam Nîmoises en conclusion fédérale, qui opposera quelques formations de Nationale 1 (le 3e diplôme hexagonal).
Déjà de la question en 2023
Imaginez-vous, parents, travailleur triade poupons qui joueraient des finales nationales le même vacance, pour une séjour de 20 000 lieux… “C’est une grande émotion, avouent le papa Pascal et la maman Nathalie. En plus, deux finales différentes ! Ce n’est pas donné à tout le monde. Il y a deux ans, on a versé quelques larmettes… Là, on espère que Juliette va remporter la sienne pour faire comme ses sœurs. Car une finale, ça se gagne ! “
En 2023, Léa et Elisa existaient déjà de la question. Avec l’Entente Nîm’arguerittes, devenue depuis l’Usam Nîmoises, elles-mêmes avaient remporté la conclusion régionale à Bercy (24-17 en échange de Le Kremlin-Bicpersonne). “C’était incroyable, magnifique, on veut revivre ça”, confient les quelques grandes. Juliette, elle-même, trouvait en éperon, n’contenant pas pu batifoler verso Nîm’arguerittes derrière un empêchement officiel.
Deux ans alors, la demi-centre évolue verso Léa (ailière-arrière stupide) à Nîmes, le association qui énervé (promue en D2). Sur le position pendant en apparence : elles-mêmes travaillent pour la même pouponnière. Elisa (ailière stupide), qui a emmanché du reflux de par son gouvernement de maîtresse de cabaret, se événement passe-temps verso Marguerittes en Départementale. “Mais le nom du groupe whatsapp de l’équipe, dès le début de saison, c’était quand même “Objectif Bercy 2025””, précise-t-elle.
“Le hand, c’est le moteur de nos vies”
Comment le triade brut de Nîmes en est-il approché là, choeur, au puis grand plan passionné ? “On a grandi dans les gymnases avec nos deux parents handballeurs, joueurs et entraîneurs. On a commencé toutes les trois très jeunes à l’UHTB, à Beaucaire, où vivaient nos grands-parents. Puis on a continué au HBC Nîmes (top 5 français avant de déposer le bilan en 2016, NDLR). On a essayé d’autres sports, judo, natation, rugby, mais le hand, c’est le moteur de nos vies, le fil rouge. Nos potes et notre famille, c’est le handball”, racontent les triade sœurs. L’première-née, Léa, est d’distant en double depuis douze ans verso Antoine Soulier, devenu depuis son entraîneur à l’Usam Nîmoises.
Entre “Lel” (1,57 m), la réservée et bon allocutaire, “Zaz” (1,63 m et bock), la outrancière au volumineux cœur, et “Juni” (1,56 m), la puis alliance et discrète, compris quelques blondes et une soir, compris triade sourires naturels, “on se connaît par cœur. Sur le terrain, quand une a la balle, on sait ce qu’elle va faire. Ce week-end, on va plus stresser pour le match de l’autre que pour le nôtre”.
Elisa entrera en rudimentaire sur le magistrat, sabbat 17 mai à 11 heures du potron-minet. “Si elle gagne, on fera la fête à l’eau le soir car on joue dimanche”, assurent Léa et Juliette. “Moi, par contre, si j’ai gagné, souffle Elisa, je pourrai regarder leur finale bourrée.” Et avaler un contusion verso oncle Raoul !
Les Gardoises en favorites
Les matches. Samedi 17 mai à 11heures, les Marguerittoises s’avancent en favorites de la conclusion départementale en échange de les Franciliennes de Villeparisis. Elles ont survolé le challenge languedocien verso des joueuses expérimentées qui, derrière la majorité, ont joué à capital puis grand plan (une dipôle de illustrés de ludisme en D1 derrière Elisa Biscuit, par estimation).
Dimanche 18 mai à 14 h 30, l’Usam Nîmoises, gagnante de sa lagopède de N1 et promue en D2, partira impartialement verso les complaisance du prévision en échange de La Motte-Servolex, maintenant 5e pour la même lagopède que les Gardoises qui les ont battues quelques coup (28-23 et 36-29).
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