Harcèlement spychisme entre l’endurcie : des ex-militaires du troupe de Castres portent dénonciation

Quatre ancestraux militaires du 8e troupe parachutiste d’fantassins de transport (RPIMa) à Castres (Tarn), entre le sud de la France, ont porté dénonciation singulièrement quant à viol et guérilla spychisme comme à elles supérieurs hiérarchiques, estimant possession été prosterné à des traitements dégradants, a-t-on renseigné, jeudi 15 mai, contre de à eux convenu.

Ces plaintes, déposées contre du tribunal de Paris le 9 mai, dénoncent des viol volontaires, menaces, guérilla spychisme et gageure en adversité de la vie d’particulier, escortant l’une des plaintes laquelle a eu culture l’AFP, confirmant une écho du Parisien et de France 2.

Elles visent nominalement des supérieurs hiérarchiques et le rôle des Armées.

“C’est une action de jeunes hommes extrêmement courageux qui souhaitent non seulement dénoncer les faits graves dont ils ont été victimes mais également que des mesures soient prises pour que les pratiques changent”, a réagi contre de l’AFP à eux convenu, Me Thibault Laforcade.

“C’est sans doute le moment de questionner le fonctionnement interne de cette institution qui ne peut plus user de procédés archaïques et destructeurs”, a-t-il poursuivi. “Cette nouvelle génération de soldats est prête à la rigueur qu’exige l’engagement militaire mais souhaite simplement que ses droits fondamentaux ne s’arrêtent plus aux portes des régiments”.

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“Un environnement toxique et dangereux”

Dans un voiture du 9 mai compulsé par l’AFP adressé au mandataire des Armées, Sébastien Lecornu, Me Laforcade l’billet à “prendre toutes les mesures qui s’imposent pour remédier à ces difficultés systémiques”.

Dans sa dénonciation, l’un des plaignants soutient qu'”un véritable harcèlement s’est organisé autour de lui, créant un environnement toxique et dangereux”.

Il “recevait des réflexions, des insultes, et sa réticence à se conformer aux pratiques de bizutage, de harcèlement ou à s’en prendre aux boucs-émissaires désignés par les cadres ne faisait qu’aggraver sa situation”.

Selon la dénonciation, “l’encadrement le soumettait lui, mais également d’autres de ses camarades, à des punitions dégradantes”.

Sollicité par l’AFP, le rôle des Armées a installé annexer “très au sérieux ces accusations et rappelle sa politique de tolérance zéro vis-à-vis de ces pratiques qu’il condamne fermement”.

“Déterminée à faire toute la lumière sur les faits dénoncés, l’armée de Terre a décidé d’initier une enquête de commandement et apportera son concours à la justice pour établir toutes les responsabilités”, a accessoire le rôle, promettant que “si ces faits sont avérés, des sanctions disciplinaires lourdes seront prises à l’encontre des responsables”.

Avec AFP

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