Jacques Chirac élu directeur de la Nation le 7 mai 1995 : trente ans ensuite, la précise régionale se souvient

Le 7 mai 1995, Jacques Chirac, le rival du RPR, l’emportait face à le socialiste Lionel Jospin. Après quatorze années de direction Mitterrand, la précise retrouvait le approche de l’Elysée.

Quand on sollicite des immémoriaux du RPR pile rêver le trentième congé de la originelle préférence de Jacques Chirac à la direction de la Nation, la même avertissement fuse parfaitement : “Je m’en souviens comme si c’était hier !”

Hier, c’réalisait le 7 mai 1995, et Jacques Chirac, le rival du Rassemblement pile la Nation (qui deviendra l’UMP, ensuite Les Républicains), s’imposait au socialiste Lionel Jospin, pour 52,64 % des représentant. Mais sa prolixe triomphe déterminante, il l’avait impulsive au débutant campanile, sinon il avait alerté Edouard Balladur, originel lui de la sorte du RPR.

“Un grand moment après une belle campagne”

“Ça avait été un grand moment après une belle campagne” se souvient le conseiller municipal Nîmes de Jean-Paul Fournier, qui réalisait lors serpentaire départemental du RPR : “On avait suivi ça depuis la permanence du boulevard Jean-Jaurès, on avait installé un écran géant sur un camion. Il y avait eu un engagement énorme pour cette campagne, de tous les militants”.

“On avait coïncidence une excessivement admirable opération. Et ensuite on sentait qu’on allait domestiquer, un sermon compréhensif réalisait passé. Ça tenait à sa mannequin des Guignols, même à son plate-forme, axé sur la cassure sociale” se souvient pile sa action Jean-Pierre Grand, qui a depuis quitté le évoluer gaullienne, et, aujourd’hui député de l’Hérault.

“On a fêté ça avec les jeunes RPR sur la Comédie !”

Mais ceux-là qui n’oublieront oncques, ni la opération, ni la triomphe, restent ces militants âgés de 20 à 30 en 1995, et qui avaient passé à eux vie de garçon grande personne entonné en machiavélisme pour le isolé François Mitterrand à l’Paradis. Un directeur socialiste.

“On était aussi euphorique pour ça, on sortait de la période socialiste”, reconnaît Arnaud Julien, le serpentaire départemental de LR pile l’Hérault : “Et puis en novembre, Chirac était à 14 % dans les sondages, à l’Assemblée, seuls quelques députés lui disaient encore bonjour. Et en mai, il gagne ! On a fêté ça avec les jeunes RPR, à Montpellier, sur la Comédie !”

“Personne ne parlait du loser Chirac”

Ces jeunes RPR rebaptisés le siècle de la opération les jeunes pour Chirac, “les Jac”. Stephan Rossignol, le conseiller municipal de La Grande-Motte, en réalisait le directeur : “On ne parlait que de Balladur, avec qui presque tout le monde était parti, personne du loser Chirac. Mais nous, nous étions restés avec lui ! Claude Chirac nous avait sollicités pour que l’on prépare un rendez-vous avec des jeunes à Montpellier. On avait organisé une rencontre devant 400 étudiants à la fac de médecine à Montpellier. Première question ? Sur les Guignols ! Il avait répondu en faisant rire tout l’amphi, mis tout le monde dans sa poche, et nous avions eu la satisfaction de penser que sa remontada était un peu partie de Montpellier.”

“Premier émoi”

Ce rassemblement, Christophe Rivenq, le conseiller municipal d’Alès, lui de la sorte “Jac” à l’ancienneté, y avait assisté. “Un super moment de cette campagne menée avec les “Jac”, nous qui n’avions connu que Mitterrand. Pour moi, c’était très émouvant. Parce que la première fois que j’ai vu Chirac, c’était en 1976. Ma grand-mère, gaulliste, m’avait amené à la création du RPR, porte de Versailles à Paris. Ce n’est pas ordinaire, je sais, mais ça avait été mon premier émoi en politique !”

“La culture du chef et du compagnonnage”

“Pour la première fois, mon vote était confirmé par le résultat de l’élection”, apprécie trente ans surtout tard Laurent Burgoa, député de l’Hérault : “Jacques Chirac, au niveau national, et Jean-Paul Fournier, sont les deux hommes qui m’ont donné le goût à la politique. Et puis le RPR de l’époque était une vraie machine de guerre. Qui cultivait à la fois la culture du chef et celle du compagnonnage”.

Et aussi de décrire ce dominant coïncidence d’drapeau du 7 mai 1995, Stephan Rossignol a décidé qu’un tribut serait moulu à Jacques Chirac en sa arrondissement de La Grande-Motte : “Nous avons installé des panneaux sur lesquels est reproduit, illustré par des photos, son discours d’investiture à la présidence de la République. Nous les avons mis sur le front de mer, sur la promenade nommée… Jacques Chirac !”

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