“J’espère qu’à la rentrée, on sera plus”, le Stade Montpelliérain recrute des joueuses avec la temps 2025-2026

Pour la originelle jour depuis sa fécondation en 2020, le Stade Montpelliérain accueille des joueuses au canne. Depuis le appointement de germinal et au-dessous l’compression des dirigeants souhaitant percevoir arriver une bout féminine, Julien Cacciapaglia dirige les entraînements sur le emplacement Gaëlle-Mignot au seigneurie de Grammont. “On a commencé l’aventure sur cette fin de saison, histoire de jouer au rugby pendant deux ou trois mois, explique celui qui vient d’arriver à Montpellier en provenance du nord de la France. L’idée est de débuter en championnat à partir du mois de septembre. Au départ, un groupe de cinq ou six filles ont voulu essayer, puis d’autres ont rejoint l’équipe grâce à de la communication par flyers et sur les réseaux sociaux. On a des étudiantes, certaines de la faculté de droit qui joue déjà au rugby à 7 avec l’Université de Montpellier. Nous avons choisi de pratiquer du rugby à XV, c’est intéressant puisque la discipline peut accueillir tous les types de profil.”

80 % de débutantes

Pour le particularité, 80 % de l’vrai est initial. Alors Julien Cacciapaglia s’efforce à agiter frivolité à l’formation des menstruations fondamentales : “On voit les 21 règles du rugby : la mêlée, le hors-jeu, les gestes de l’arbitre… mais aussi les valeurs du rugby, la discipline. On s’entraîne deux fois par semaine et on passera à trois séances dès la saison prochaine”, détaille-t-il.

Manon, agrégative en main, a approché le Stade Montpelliérain pour disparates de ses amies : “On joue déjà au rugby à VII avec la fac. On a envie de jouer en club, c’est plus intense, il y aura plus de matchs. Tout se passe bien, c’est cool. Il y a un esprit convivial. Cela donne envie de continuer, j’espère qu’à la rentrée, on sera beaucoup plus.”

L’habileté est lancé, le canne recrute des joueuses de intégraux paliers avec esquisser un bleu sujet du rugby femelle à Montpellier.