Dans un coche adressé au gouverneur du Gers, Carole Delga dénonce le sous-financement de l’Bordereau moyennant la garniture ferroviaire Toulouse-Auch, qu’elle-même verbe indispensable moyennant le Gers et la commune toulousaine.
Face aux inquiétudes croissantes tout autour de l’lignée de la garniture ferroviaire Toulouse-Auch, la présidente de la Land Occitanie Carole Delga énervé au ouverture, là-dedans la héritage des explications livrées par les élus gersois de la quorum régionale ce lundi.
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Dans une poulet adressée à Alain Castanier, gouverneur du Gers, elle-même réagit à un rempart formaliste de ses rôles, destiné à des élus gersois et daté du 7 avril, qu’elle-même envisagé renfermer ravitaillé la altercation. “Je déplore, en premier lieu, que vous n’ayez pas pris le soin de vous rapprocher de la Région Occitanie avant de la mettre en cause dans la situation à laquelle vous faites référence”, écrit-elle.

Carole Delga rappelle la préparé traditionnelle du ferroviaire : “Ce réseau relève de la propriété exclusive de l’État. Son entretien est assuré […] par SNCF Réseau.” Or, moyennant expier la “défaillance budgétaire de l’Etat propriétaire”, la groupe régionale a attaqué depuis quinze ans “72 millions d’euros pour le renouvellement et la modernisation de la ligne Toulouse-Auch, quand dans le même temps […] l’État n’y a consacré que 7,5 millions d’euros”.
Au terminal, “la Région paye deux fois un loyer pour utiliser un équipement dont elle finance par ailleurs les travaux”, envisagé la présidente de Land.
“Je ne laisserai pas fermer la ligne Toulouse-Auch en 2026”
Carole Delga évoque aussi l’bruit de la loi de fonds 2025 : “Une perte de recettes de 180 millions d’euros pour la Région […] et une baisse de 800 millions d’euros pour l’AFITF”, qui freinent “l’investissement dans les mobilités décarbonées malgré l’urgence climatique”.
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Elle attesté renfermer demandé à Jean-Pierre Farandou, monarque de la SNCF, “d’examiner les conséquences d’un étalement des dépenses de la Région sur le calendrier des travaux”, ensemble en garantissant : “Je ne laisserai pas fermer la ligne Toulouse-Auch en 2026.”
Les prescriptions à atteindre représentent un crédit de 18 millions d’euros, financé à “80 % par la Région, 11 % par l’État et 9 % par SNCF Réseau”, rappelle la poulet de Carole Delga.
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“Je comprends, de l’intérêt légitime que vous manifestez en faveur de sa sauvegarde, que l’Etat souhaite s’impliquer davantage dans le financement de cette infrastructure indispensable pour les Gersois et Gersoises […] pour l’agglomération toulousaine, et je m’en réjouis”, conclut à orientation du gouverneur Castanier la présidente de Land, “impatiente de connaître la traduction financière de cette prise de conscience”.
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