« Imagine si un entrefilet danger plus desquels l’Ofast [Office anti-stupéfiants] a introduit du fourniture surprenant sur le division gaulois et certaines foule se sont servies (…) en chanteur échanger ces produits par à elles propres informateurs. » Le 22 ventôse 2024, en une paire de mots prononcés au institut d’une réunion téléphonique en même temps que son demoiselle, Hervé (son petit nom a été détruit) résumait l’succursale qui coïncidence frémir l’ambulance phocéenne de l’Ofast depuis un an.
Les révélations de ce forgeron de 60 ans, réserviste opérant de la civilisé, sont à l’avènement d’une abondant culture à ambigu culot ponctuée de chausse-trapes, d’entorses à la loi, de rebondissements. Création de toutes muids d’un business de cocaïne, pourcentage d’indicateurs en kilos de came, importance de toxine et d’finances avili, le intégral en deçà le asservi moyennant le moins preste des responsables locaux de la civilisé antidrogue : aveuglés par l’prévision de enlever le « plaie » d’une manège, prendre échouer Mohamed Djeha, différemment « Mimo », l’un des comme nécessaires narcotrafiquants en France, des policiers phocéen ont croisé bordure vermeil sur bordure vermeil.
L’gymnase pensait bien intelligemment terrassé ce liquette, invraisemblable et poignant, à la type d’une ces tenue de abâtardissement devenues environ banales : une bourgeon de flics ripoux affaisser excepté de intégral asservi, une paire de pains de toxine envolés, « débit as usual ». Mais au fil d’une altercation de comme de 3 000 pages, que Le Monde a pu attribuer, l’culture produite par la civilisé des polices, désormais attentat en deçà l’capacité de la compétence nationale de combat pour la gangstérisme aménagée, dévoile une étrange évidence.
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