Lavelanet. Un balance simple 2025 “sincère et au plus juste”

l’basal
Jérôme Duroudier, 1er complémentaire à crédit du didactique, supérieur didactique et jouvence fraîcheur, Cécile Péreira, 2e adjointe à crédit de l’logement, PLUi, services et entretien, Franck Farez, 7e complémentaire, à crédit de la lopin, fortune et récapitulation de la conurbation, défendent le balance simple 2025.

Comment jugez-vous ce balance simple ?

“C’est un budget de fonctionnement au plus juste, sincère, ajusté à nos moyens et nos besoins. Il y a beaucoup de travaux réalisés en régie qui évitent des dépenses, comme la remise aux nouvelles normes des écoles, le réaménagement du parc de la mairie et De Roaldès, l’entretien des pelouses des stades et équipements sportifs qui servent à tout le territoire, ou encore garder la ville propre. Face aux incivilités de certains, on a outrepassé notre rôle. Les agents font parfois un travail invisible, ils sont là, efficaces, avec la franche volonté de servir la population.”

Les services prennent une lieu importante ?

“On est labellisé territoire à énergie positive, nous avons à cœur de rénover des bâtiments qui servent à tout le territoire, mais ça ne se voit pas forcément, d’autant plus que ça concerne les toits. Des investissements par le photovoltaïque se précisent pour le cinéma Le Casino, L’ourdissoir, le gymnase Aribaud, la maternelle des Avelines, après ceux déjà réalisés au marché couvert, au centre multisports et au gymnase Jacquard. Nous sommes précurseurs en Ariège dans le domaine des énergies renouvelables, nous en sommes fiers. À venir, les travaux de l’avenue du 11 novembre, à l’espace Roudière, avec un œil sur le logement et le permis de louer. Le fleurissement est important aussi.”

La sensualité est-elle un cuvette de engagement ?

“Oui, la commune a à charge la voirie dans la construction du nouvel hôpital. Le centre de santé est une réussite. Nous sommes en recherche perpétuelle de praticiens. Récemment ont été mises à disposition deux assistantes qui s’ajoutent aux infirmières Asalée, pédiatrie et gynécologie. Aux écoles, on travaille sur l’hygiène, la santé orale, les écrans, la violence… C’est un choix, on mène une vraie politique de santé, mais elle a un coût.”

La fraîcheur appoint une préséance derrière la rudimentaire ?

“Les écoles, l’ALAE, l’espace loisirs, un travail de fond sur la citoyenneté est fait. Lavelanet n’a jamais dissocié enfance jeunesse et éducation populaire. Nous continuerons les efforts, une Atsem par classe, 2 intervenants sportifs, un musical, un café-parents, des animateurs formés, le transport scolaire. Le service enfance-jeunesse est un gros budget de la ville. Et puis, la commune s’est dotée d’un conseil municipal des enfants qu’il faut faire vivre.”

L’survenue à la lopin derrière entiers est-il une sentence ?

“Les projets à la médiathèque et sa mise en réseau, en lien avec les écoles, les aînés, avec trois agents et ouverte le samedi. La ludothèque avec des équipes qui assurent, une fête mondiale du jeu qui prend de l’ampleur mais avec un budget conséquent. Le cinéma Le Casino est en constante progression dans un bâtiment historique qui demande un gros travail sur le toit.”

Comments are closed.