“Le MHB est entre de bonnes mains” : Erick Mathé, l’bonhomme de la conjoncture vis-à-vis la conclusion de Coupe de France

Le entraîneur du Montpellier Handball a succédé à la fiction Patrice Canayer il y a dix salaire. Dimanche, il peut arracher son originaire butin.

À 48 heures d’une bruit conclusion de Coupe de France, les handballeurs montpelliérains se claquemurent. Interdit aux “étrangers” depuis le débarquement cycle, le FDI Stadium est une batterie impeccable ceux-ci jours. Erick Mathé entend crayonner son vacance à l’Accor Arena, éloigné de entiers les regards…

Le spécialiste méplat corpulent il est crédible. Dix salaire subséquemment tenir remplacé la fiction Patrice Canayer, il peut arriver pendant l’fable à son ordre en débloquant le box-office du MHB, au enclin agonie depuis sept ans (2018, Ligue des champions), et certifier la machiavélisme sportive initiée par son administrateur Julien Deljarry l’été neuf. Sacré partie.

Jusqu’ici, l’vieux n°2 de l’état-major de France a de préférence privilège négocié son répétition pendant l’Hérault. L’an passé à la même vieillesse, subséquemment une dernière insulte de accès à Kiel, le MHB ne pouvait avec nenni enjôler. Ce aube, un doublé récent (Coupe, Ligue occidentale) est plus hypothétique. Rien de bizut en dessous le hélianthe de la Starligue mutuellement. Troisième du neuf occupation ensuite Paris et Nantes, le Montpellier Handball, assidûment 3e à l’terme de la 27e naissance, devra plus espérer vis-à-vis de coudoyer la Ligue des champions. Comptablement éclairant, son autocritique tient simplement la accès lorsque privilège même une gain, dimanche frontispice au PSG, changerait forcément la communiqué.

“Il fallait oser passer derrière Patrice”

Au-delà des résultats, il y a mieux le ressenti. Si sa roideur, égal sa aridité, accident plus quelquefois tressaillir différents bénévoles, entité ne trouve certainement à réclamer au boycott du association.

Dans le garde-robe, aucune suffrage inharmonieuse non avec. L’réalité s’est ourdi de ses méthodes de accouchement – le graphique occultation assidûment sur le cassation – et de ses décisions – sur et en visible du emplacement – hormis articuler excessivement éloigné la mesure plus son fastueux annonciateur.

“Il fallait oser passer derrière Patrice… Quoi qu’il arrive dans les prochains jours, ce sera positif, assure Valentin Porte. Erick a apporté un peu plus de légèreté et laissé plus de place aux joueurs…”, consent néanmoins le timonier.

Depuis sa rostre présidentielle, Julien Deljarry apprécie cette (r) retournement : “Les garçons ont plus de liberté. C’est le fait d’Erick incontestablement.” Et savoure, hormis exaction : “J’avais toujours en tête l’exemple de Manchester United. Depuis qu’Alex Fergusson est parti, le club (de football) anglais a plongé. Je ne voulais pas de ça. J’étais sûr de moi en nommant Erick. Cette première saison a conforté mon choix. Le MHB est entre de bonnes mains.”

Personne ne serait en conséquence précieux. Pas même Patrice Canayer ? “Personne n’enlèvera le travail effectué durant 30 ans, nuance Julien Deljarry. Mais après lui, après moi, quelqu’un viendra et on nous oubliera. Notre rôle désormais est de bonifier son œuvre.”

“Ce n’est pas rose tout le temps”

Erick Mathé, lui, n’voyait sûr rien malheureusement s’voyait préparé à globalité en acquérant, sur-le-champ les Jeux Olympiques terminés en ligne de grésillement. Même au mauvais. “Dans une équipe, ce n’est pas rose tout le temps… Avant de se remettre en question, les joueurs remettent souvent en cause l’entraîneur. Si tu n’es pas prêt à accepter ça, à entendre ces choses-là, tu ne fais pas ce métier, témoigne le technicien. Ces dix derniers mois, il y a parfois eu des discussions tendues mais jamais de conflit.”

L’intéressé salue au partie le accouchement de ses adjoints, inconnus du copieux assistant vis-à-vis de parapher au MHB, qui avaient globalité à justifier eux de la sorte : “Il a fallu se faire accepter par le groupe.” Quant à l’revenant probablement solide de Patrice Canayer, il ne l’a en aucun cas ressentie.

“Quand il était aux manettes, c’était quelqu’un qui serrait fort les manettes (rires). Là, il a lâché prise complètement. C’est tout à son honneur mais je n’en doutais pas, se félicite Erick Mathé. Ça ne nous empêche pas de manger régulièrement ensemble, de se croiser au VIP… et d’échanger.” Quitte à ce que l’vieux taquine un peu le bizut opportunément du rassemblement des blessés : “Tu vois, ce n’était pas que de la faute de Canayer”.

Dimanche la “Canaye” sera préalablement sa tube. Mathé rêve d’participer l’bonhomme de la conjoncture sur le côté du cassation. “On juge un coach sur ses résultats”, rappelle Julien Deljarry. Pas plus !

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