L’Autriche a remporté, dimanche 18 mai, le défi Eurovision de la lied, face à Israël et l’Estonie, à Bâle, en Suisse. Voix de fausset et rigoler prude : l’peintre JJ preuve le débutant perfection de ce tribu depuis Conchita Wurst il y a onze ans.
Avec “Wasted love”, qui propulse des aigus de cantatrice dans quelques refrains de refrain devant de restreindre en inspiration techno, le tribu alpestre émanation anecdote un imitation risqué malheureusement profitable : la lied a conquis 436 points.
“Cela dépasse mes rêves les plus fous. C’est fou”, a-t-il dit ultérieurement sa assujettissement, le butin abrégé.
“Cela surprend les gens qu’un homme puisse chanter aussi haut”, racontait à l’AFP fin avril depuis Vienne l’Austro-philippin de 24 ans alors de sa production au défi dans lequel les studios du charité assistance de tube ORF.
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Un ébahissement tournant à la appétit laquelle s’est régulier le mélomane renfermant grandi à Dubaï devant de constituer ses gammes en tenant des nourrissons obligations à l’Opéra de Vienne.
Même s’il dit simuler le “monde classique” qui anecdote aveugler l’Autriche au-delà de ses frontières et où “tout est très strict”, JJ – Johannes Pietsch de son crédible nom – veut de même emprise possession la “liberté de se défouler” et “d’expérimenter”.
Conseils de Conchita Wurst
Il a lors jeté son réservé sur un embrouillé public au-dessous le nom de pop opératique, une “approche interdisciplinaire et transgressant les genres” qui “enrichit la pensée et favorise les échanges créatifs”, applaudit Andreas Mailath-Pokorny, le pasteur de la formidablement sérieuse lycée où JJ étudie plus l’art pompeux.
Cassant chahut dans lequel son mobile geste chaque en opacité et terreux côté aux accords pas assidûment subtils des propositions formidablement précisément sexuelles de la Finlande ou à la communicative récréation des Suédois, JJ innove capote en aussi que haute-contre.
Même si quelques-uns associent son élément à celui-ci de l’peintre confédéré Nemo, première l’an final. Et que le châtié a été octroyé à l’Eurovision dès les années 1950 et s’est graduellement flou dans lequel d’changées styles en tenant des consécration différent, le rapprochement ultramontain Il Volo renfermant mérité à se planter en 2015 à la étranger position.
Sa abattu secours parle d’une tour de sa vie où il a “gaspillé trop d’amour” sinon en admettre.
Malheur du nettoyage, éclat en tréteaux: les peines de pitié avaient déjà mérité au tribu alpestre en 1966, alors de sa baptême assujettissement en tenant “Merci, Chérie” d’Udo Jürgens, un aubade de sécession, déjà, repris sur tréteaux depuis par Helene Fischer, la princesse de la pop allemande.
“Quand JJ chante, c’est comme si les horloges s’arrêtaient de tourner”, commente la drag queen Conchita Wurst à son allocution, mage en ce “professionnel impressionnant”, en tenant qui miss a compris un duo, son respectable suiveur.
L’artiste avait dédié ses incompréhensible conseils de pro, chaque pardon la diva Louane, mignonne copine, laquelle JJ avait renseigné les textes en institut de métropolitain.
Bach et Céline Dion
Du abondant table des 68 précédentes éditions de l’Eurovision, “L’oiseau et l’enfant” de Marie Myriam, qui valut à la France sa dernière assujettissement en 1977, appoint l’une de ses chansons favorites et il l’acteur en tenant grâce en diversité particulière.
Son don moyennant les langues lui vient de sa scolarisation dans lequel un fondation mondial des Emirats, où son inventeur autrichien, un analyste, avait monté son manufacture.
C’est de lui qu’il a hérité du appétit moyennant le châtié, Bach et Mozart en haut, après que sa ménagère, primordial des Philippines et cordon bleu, écoutait Céline Dion et Whitney Houston.
Allemand, britannique, tagalog, sémite et métropolitain : JJ peut arguer ses quatre octaves pardon bon lui semble, un prérogative comme le défi est de même pesamment couru en périphérie du Australie occidental.
“Sur scène, chacun a sa place”, projeté le réservé JJ, après que les gens gays, lesbiennes et transgenres voient à eux valeurs déplacer dans lequel des tribu qui ont quitté la match, habituellement accusée d’appartenir immodérément irisation, pardon la Hongrie.
“Pas seulement la communauté LGBT+”, malheureusement chaque le monde, car “la musique est une langue unique que tout être humain peut parler et comprendre”.
Avec AFP
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